Lu sur Réinformation.tv, cette analyse de Jeanne Smits à propos de nouvelles statistiques publiées dans le Minnesota :
"[…] Eh oui, ces adolescents supposément homosexuels ont des rapports hétérosexuels, ce qui laisse tout de même planer un doute sur la réalité de leur « orientation sexuelle », et indique plutôt que l’adolescence est un âge où les problèmes liés à la perception de soi peuvent entraîner des comportements de simple expérimentation voire de rejet de l’ordre établi à la maison. Le message culturel environnant fait une promotion éhontée de l’homosexualité : la normalité ne va plus de soi. Il ne faut pas s’étonner si Erin Wilkins explique que l’identité sexuelle « est complexe et plus fluide qu’on ne le pense ». Après la promotion de l’homosexualité, voici celle de la pansexualité, en somme.
On apprend également que davantage de jeunes LGBT ont des relations sous l’influence de la drogue ou de l’alcool que les autres, d’où un taux de grossesse plus élevé…
Le pasteur évangélique Mark Hodges note pour LifeSite que ces chiffres sont vérifiés par des études dans plusieurs pays, où l’on apprend que les homosexuels, garçons et filles, ont une activité sexuelle significativement plus élevée que celle des hétéros. Avec davantage de promiscuité. Et que les taux de grossesse peuvent s’y révéler jusqu’à sept fois plus importants chez les lesbiennes et les gays.
Tout cela nous apprend que l’homosexualité est loin d’être un absolu contre lequel on ne peut rien parce qu’on est « né comme ça », puisque de nombreux jeunes LGBT ont de nombreux rapports non homosexuels. L’insécurité affective et une éducation à l’identité défaillante ne seraient-elles pas à la racine de tout cela ?"