Les Associations familiales catholiques considèrent que
"ce texte illustre, et pourrait bien renforcer, la complexité de situations auxquelles nombre de nos contemporains sont confrontés dans le cadre des recompositions familiales […] :
– les droits des parents, particulièrement ceux du parent qui ne vit plus avec son enfant, ne sont pas suffisamment garantis par rapport à ceux dont pourrait bénéficier le « tiers » qui n’aurait pas de lien de parenté avec l’enfant
– si la réalité des liens affectifs qui se nouent entre un enfant et un adulte qui vit avec lui sans être son parent ne peut pas être mise en doute, pas plus que la nécessité de les prendre en compte, en faire un fondement de droits en matière d’autorité parentale n’est pas acceptable : il faut des critères objectifs pour assurer la sécurité et la stabilité affective à un enfant qui se trouve déjà vraisemblablement dans une situation difficile (perte d’un parent…). […]
– les sentiments ne fondent pas l’autorité parentale, pas plus qu’ils ne définissent la filiation et ne sauraient être promus avec l’objectivité nécessaire comme fondement d’un droit
– l’exercice de l’autorité parentale, avant de pouvoir être revendiqué comme un droit, est d’abord une responsabilité que l’on ne peut pas transférer sans de sérieuses garanties, pour la sécurité physique et psychique de l’enfant"
MJ
Sancenay
le préambule paraît bien timide: pourquoi ce conditionnel et ces mots si softs pour définir ce coup mortel porté à l’humanité ?
le dernier paragraphe est suffisamment flou également pour que les hordes s’y engouffrent.
cela ne présage rien de bon de la capacité de résistance des AFC qui à ce train ne risquent guère de subir la glorieuse persécution d’un Pie XII.
Relisez Monseigneur Aillet chers amis ou Monseigneur George.