La Préfecture de Police de la capitale a tenu une réunion pour s'organiser face à ce phénomène croissant et inquiétant : plusieurs événements festifs parisiens ont récemment été la cible de bandes «constituées» manifestement originaires de la Seine-Saint-Denis et du Val-de-Marne : Marche des fiertés gays et lesbiennes, la Fête du baccalauréat ou la Technoparade…
Fondre sur des manifestants ou des fêtards, les frapper à dix contre un, lire l'effroi sur les visages autour, «c'est marrant», résume Moussa, 15 ans.
"On y va pour ramasser des téléphones, du fric, pour s'amuser. On retrouve d'autres bandes."
"Dès qu'on monte dans un wagon, c'est la tension […] J'adore faire baisser les yeux."
pmc
Qui a voulu et qui veut encore cette “diversité” ?
DAUGAN Bernard
Parigo delenda est.
Ethos
Il font baisser les yeux à quinze, mais face à la force tranquille et déterminée, ils passent.
Debout gaulois! même devant la mort qui approche.
oliroy
Pourquoi s’etonner. Satan mène le bal des deux cotés avec des apparences differentes.
Prions que le Saint Esprit de Dieu descende sur notre pauvre France et la delivre des legions démoniaques de tous accabits qui a hantent.
Pitch
comme dirait le regretté Serge, le gardien du Zoo de Vincennes a encore oublié de fermer les cages…
Marc
Ce Moussa contribue au racisme bien plus que n’importe quel discours de “l’extrême droite”…
Exupéry
Quelle chance pour la France! Nos sociologues (la plupart du temps gauchisants) spécialistes de la culture dite des “chasseurs-cueilleurs”, n’auront plus besoin de risquer d’attraper des maladies tropicales à la recherche de tribus vestigiales, au fond des jungles insalubres. Il leur suffira d’ouvrir les yeux dans cette jungle qu’est en train de devenir ladite “France”.
free
Le choix de leurs attaques (marches des “fiertés”…, technoparade), c’est embêtant pour les lobbies “biens pensants”. Ah, s’ils s’en prenaient aux marches pour la vie, ou aux rassemblements genre “Holly-Wins”. C’est à se demander si ces bandes n’en ont pas ras- le-bol d’une certaine débauche soutenue et médiatisée. Je n’excuse pas la violence, mais… Prions.