Comment les pro-avortements peuvent-ils soutenir cela ?
Au Nouveau-Mexique (Etats-Unis) un établissement pratiquant des avortements s’est associé à l’Université d’Etat locale afin de fournir les cadavres de certains fœtus à des fins de dissection et de recherche.
Les Etats-Unis sont le pays de tous les contrastes : tandis que certains Etats, encouragés par l’administration du président Trump, interdisent l’avortement, d’autres le permettent, même en toute fin de grossesse. C’est le cas à Albuquerque de la Southwestern Women’s Options, clinique dirigée par Curtis Boyd, médecin réputé pour pratiquer des avortements de fœtus en fin de terme. Le praticien, qui aime les caméras, répète invariablement avec froideur : « Est-ce que je tue ? Oui, je tue. Je le sais. » On ne saurait être plus clair. Dans cette spirale de l’horreur, l’établissement où Curtis Boyd officie s’est associé à l’Université du Nouveau-Mexique qui « commande » et prélève des parties de corps de fœtus avortés à des fins de dissection et de « recherche » : cœur, cerveau, poumon, pieds, yeux, tête entière ou non. Tout se vend et s’achète.
L’appât du lucre
Et comme l’horreur a souvent le cynisme pour compagne, une ancienne secrétaire de direction « repentie » de Curtis Boyd, Nina Whitten, avoue avoir été formée par son supérieur au « contrat-avortement par téléphone », dont l’objectif était « de s’assurer que la femme ne se fasse pas avorter ailleurs, qu’elle ne fasse pas adopter l’enfant à naître, ou change d’avis. Nous faisions ça pour l’argent ». Depuis le mois de mars 2018, Curtis Boyd a été placé sous surveillance par le Conseil des médecins à la suite de la mort d’une femme étant passée par son établissement, Keisha Marie Atkins. La mère de cette dernière a même décidé d’entamer des poursuites judiciaires contre Curtis Boyd en septembre dernier. En dépit de la barbarie de ses actes, celui-ci persiste et signe, déclarant : « ce que je fais est important ». Et grave. Ce criminel en blouse blanche a-t-il prêté le serment d’Hippocrate ?
DUPORT
Forcément on ne leur donne pas de sépultures alors c’est l’ouverture à toutes les dérives.
C’est ce que nos nazis appellent “mourir dans la dignité”, mourir déchiqueté, ou brûlé, ou empoisonné, ou abandonné sans soin dans un haricot pour finalement être jetés dans la poubelle…
Ce que certains malades mentaux appellent “un progrès” !
C’est effectivement un progrès mais dans la barbarie la plus complète !