Partager cet article

Médias : Désinformation

Les calomnies de Frédéric Martel contre le cardinal Burke

Les calomnies de Frédéric Martel contre le cardinal Burke

Un lecteur du Salon beige m’envoie ce témoignage :

Il m’a été donné de travailler souvent avec le Cardinal Burke. Nous avons eu de longs entretiens. J’ai pu entrer dans différentes pièces de son appartement et avoue être stupéfait par la prose de F. Martel dans son dernier livre. Il est dit que l’ouvrage a coûté 4 ans de travail dont 1500 entretiens. Impressionnant devrait-on dire. L’on est alors en droit de s’attendre à une encyclopédie qui recense avec exactitude des hommes et des faits.

Le chapitre consacré au Cardinal Burke est assez long. Les pages se succèdent et le lecteur est comme en apesanteur. Il ne comprend pas ce qui lui arrive. Même lorsqu’il essaye de revenir à la réalité, la plume de l’auteur, enchaînée à une imagination dévorante, l’entraîne dans une forme de délire.

Au terme de la lecture de ces lignes, une chose frappe l’esprit est le nombre impressionnant de pages consacrées au triomphe de l’irréel. Quand on pense qu’à aucun moment le dénommé Martel n’a rencontré le Cardinal Burke…

Le lecteur voyage dans des abysses de superficialité et peine à s’y retrouver tant le trou noir de la pensée qui sous-tend les paragraphes qui se succèdent est vertigineusement vide. Tout ça pour ça !

Oui, un chapitre de délires sur la salle de bains, semblable à tant de salles de bains, au salon semblable à tant de salons, à la chapelle, priante et silencieuse, à l’accueil chaleureux et réservé dû au visiteur inconnu… Ce moment littéraire consacré au Cardinal Burke, car l’auteur sait rédiger, s’avère terriblement frustrant : comment est-il possible que tant de talent soit si peu finalisé par une authentique recherche de la vérité ?

Et l’on ne comprend pas ce qui se passe dans la tête de ce pauvre Martel. Pas un mot, pas une ligne, pas une preuve sur quelque fait que ce soit concernant le locataire de l’appartement. Juste une conviction : l’auteur est un drôle d’enquêteur et le réquisitoire tarde à venir. Et d’ailleurs il ne vient pas. Il ne viendra jamais.

Partager cet article

Nous utilisons des cookies pour vous offrir la meilleure expérience en ligne. En acceptant, vous acceptez l'utilisation de cookies conformément à notre politique de confidentialité des cookies.

Paramètres de confidentialité sauvegardés !
Paramètres de confidentialité

Lorsque vous visitez un site Web, il peut stocker ou récupérer des informations sur votre navigateur, principalement sous la forme de cookies. Contrôlez vos services de cookies personnels ici.


Le Salon Beige a choisi de n'afficher uniquement de la publicité à des sites partenaires !

Refuser tous les services
Accepter tous les services