Amusant :
Avi Silverberg est depuis dix ans l’entraîneur de l’équipe nationale du Canada de powerlifting (une sorte d’haltérophilie appelée dynamophilie au Québec).
Samedi 25 mars (ce n’est donc pas un poisson d’avril), il a participé au tournoi féminin de l’Alberta en se présentant comme femme, ce que permet le règlement, qui au nom de l’anti-discrimination permet à chacun et chacune de choisir son genre.
Il a pulvérisé le record de « développé couché » en soulevant très facilement 167 kg, soit 45 kg de plus que le record précédent, détenu… par un homme qui contrairement à lui s’habille en femme.
Avi Silverberg, qui a refusé de s’exprimer, est très critiqué pour avoir osé ridiculiser la politique anti-discrimination de la fédération canadienne de powerlifting. Mais c’est manifestement ce qu’il voulait faire…
incongru
c’est peut être LA solution pour arrêter de délirer…
Antigone
La démonstration par l’absurde, ce gars est intelligent et courageux, merci à lui.
denis77
Vous verrez que les parangons de la ” transidentités” se servirons de cet exemple pour prouver la supériorité du “transgenre” sur le “cisgenre”, car avec” e.u.ll.e.s.x” (à priori c’est ainsi que l’on devrait écrire en inclusif) “nou.e.s” ne sommes par un délire près.
Collapsus
Vous êtes encore victime de vieux restes de l’orthographe bourgeoise décadente et contre-progressiste et, sauf votre respect, je me permets de vous corriger :
Vous verrez que les parangon.e.s de la ” transidentité” se serviront de cet.te exemple pour prouver le.a supériorité du.de la “transgenre” sur le.a “cisgenre”, car avec” e.u.ll.e.s.x” (à priori c’est ainsi que l’on devrait écrire en inclusif) “nou.e.s” ne sommes par un.e délire près.
Emmanuel
Pour les adeptes de la féminisation de tout le vocabulaire, je dirais que ce n’est pas la peine d’aller plus loin, puisque connerie, bêtise et stupidité sont déjà des mots du genre féminin.