Ils affirment que la CGT les a menés en bateau.
«La CGT a pris en otage le mouvement. Nous, on prend en otage la Bourse du travail ! Je suis rage de colère».
«Nous avons eu quatre rendez-vous avec la CGT car on voulait nous aussi faire des occupations de lieux de travail. Mais ils nous ont baladés, en nous disant qu’il fallait attendre que Sarkozy s’exprime. Et quand ils ont eu un rendez-vous avec le cabinet du ministère de l’Immigration, ils ne nous ont même pas prévenus.»
"La CGT ne s’occupe que des sans-papiers qui ont leur carte dans leur syndicat."
Exploités les sans-papiers ? Après les patrons-négriers, le syndicat-négrier.
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La CGT : une carte de syndicalistes agrémentée d’un monopole médiatique.