Samedi, pour le déplacement d’Eric Zemmour à Nantes, les antifas ont encore fait preuve de violences. Les gauchistes ont attaqué la police.
NANTES – Une voiture de police est prise pour cible par les manifestants anti #Zemmour. Utilisation de grenade pour faire reculer les manifestants. pic.twitter.com/h6AvTDJP8K
— Clément Lanot (@ClementLanot) October 30, 2021
Mais la presse, l’AFP en tête, a déformé l’information en inventant des “heurts” entre pro et anti-Zemmour. Désinformation classique : les milices du régime attaquent la réunion pacifique du plus dangereux adversaire de Macron pour que les médias l’associent à des images de violence et le diabolisent.
L’agression des “antifascistes” a été faussement présentée comme un affrontement entre pro et anti-Zemmour.
Les soutiens de Marine Le Pen et d’Éric Zemmour sont insultés en permanence alors qu’ils représentent une part importante des électeurs.
Qui divise la société ? pic.twitter.com/a29Swk9mQk— Charlotte d’Ornellas (@ChdOrnellas) November 1, 2021
Guillaume Tabard dénonce dans Le Figaro :
“Les plus prompts à dénoncer le registre verbal zemmourien sont restés muets face aux intimidations visant à l’empêcher de s’exprimer. A Nantes, il y a eu des agresseurs, les antifas, et des agressés”.
De fait, le ministre Darmanin, qui décide de dissoudre une association non-violente à Angers, dont le local avait été attaqué par les mêmes milices antifas (avec la complicité du maire d’Angers ?), reste silencieux sur les milices antifas. Certains diront que ces milices ne sont pas constituées en association et qu’il n’y a donc aucune structure juridique à dissoudre, mais c’est un peu léger. Les milices antifas sont visiblement très bien organisées malgré leurs idées anarchistes… A tel point qu’aucune interpellation n’a eu lieu à Nantes. Les photos montrent la présence de membres, avec drapeaux, du CNT et du NPA, structures parfaitement légales (et qui vivent avec combien de subventions ?), qui nourrissent les milices antifas. A quand la dissolution du CNT et du NPA ? A moins de considérer que Beauvau, voire l’Elysée sont complices.