Un décret publié vendredi au Journal officiel signé par Élisabeth Borne, Premier ministre, et le ministre du travail, du plein emploi et de l’insertion, Olivier Dussopt, permet de suspendre le repos hebdomadaire dans les entreprises participant à la diffusion ou à l’organisation des Jeux Olympiques sur une période de près d’un mois l’été 2024.
Cette dérogation à l’obligation du repos dominical est accordée
“aux établissements connaissant un surcroît extraordinaire de travail pour les besoins de captation, de transmission, de diffusion et de retransmission des compétitions organisées dans le cadre des Jeux Olympiques de 2024 ainsi que pour assurer les activités relatives à l’organisation des épreuves et au fonctionnement des sites liés à l’organisation et au déroulement des jeux Olympiques”.
La dérogation est valable du 18 juillet au 14 août, les Jeux ayant lieu du 26 juillet au 11 août.
zongadar
Ouf ! Notre fête nationale : le 15 Août, est sauvée.
Meltoisan
Il n’y a là rien de nouveau concernant le sport dont les compétitions ont lieu les samedis et dimanche.
En revanche, les parisiens et les franciliens vont en baver pendant près d’un mois, périodes de préparation et de démontage inclues.
On va en profiter pour faire des barbecues au calme dans nos jardins et inviter des amis tout en protégeant nos maisons …
cadoudal
dans l’ Antiquité païenne , la vie était dans les stades pour y contempler des athlètes;
le christianisme et ses valeurs ont été très mal accueillis .
la Révolution se plaît à éliminer tous les vestiges de la Cité de Dieu et à faire un retour au paganisme.
A.MOR
Il y a loin de la coupe aux lèvres.
Ydelo
Je me demande sérieusement si ces JO auront lieu ou si tout n’aura pas explosé avant au niveau mondial et/ou national. L’écroulement et l’explosion prennent toujours plus de temps que prévu, mais la situation géopolitique, économique et sociale permet de penser que cela se rapproche sérieusement.
Une autre possibilité est celle d’un événement déclencheur pendant ces JO où le pouvoir, déjà débordé, sera déjà à la limite.