Selon Evelyne Joslain dans Les 4 Vérités :
Les élections de mi-mandat assurent le renouvellement, partiel, des sénateurs et représentants du Congrès fédéral, des gouverneurs des États et aussi des élus des 50 congrès locaux. Bien que n’étant pas en lice lui- même, le Président Trump s’est investi au maximum dans ces élections, afin de motiver les électeurs à aller aux urnes et lui assurer une majorité indispensable à la poursuite du formidable travail de restauration entrepris et déjà couronné de succès dans pratiquement tous les domaines.
Certes, dans ces élections, la politique intérieure domine mais, comme en politique étrangère, Trump y réaffirme le principe, universel, de « l’intérêt national contre le socialisme mondialiste ». Le 22 octobre, à Houston, défiant « la gauche arrogante et ses médias menteurs », il a réhabilité les notions de « patriotisme » et de « populisme », puis s’est défini lui-même comme un nationaliste, c’est-à-dire quelqu’un qui fait passer les intérêts de son pays d’abord, tandis que « les mondialistes corrompus et avides de pouvoir » ne se soucient que de gouvernance mondiale, forcément coupée des peuples.
Ainsi, non seulement il a nationalisé ces élections, mais notre sentiment est qu’il les a internationalisées et c’est remarquable. Qu’il en soit récompensé ou non le 6 novembre, l’impulsion est donnée.
En rendant le nationalisme de nouveau respectable, le chef du monde libre parle à un électorat considérablement plus vaste que les seuls électeurs américains. Aide précieuse à tous ceux qui supportent de moins en moins les diktats d’instances internationales non élues ou de leaders élus, mais à la légitimité discutable, comme nous, Français, soumis à la double coercition du socialisme mondialiste français et bruxellois. Et, comme Caton l’Ancien, répétons jusqu’à être entendus : Il n’y a pas de mondialiste de droite ! […]
Autre thème : Halte à l’assaut contre les institutions par la gauche, qui entend abolir le Collège électoral et même la Cour Suprême. La gauche ne cache même plus son inclination pour tout ce qui est hors la loi. Et, bien sûr, la gauche est pour l’abolition des frontières et la submersion du pays par les peuplades du Sud en lesquelles elle ne voit qu’un vivier électoral inépuisable. Elle accuse les nationalistes opposés à l’assaut quasi-militaire des 4 caravanes en marche depuis l’Amérique Centrale vers la frontière sud du pays d’être des « suprémacistes blancs ». Toujours les mêmes idées éculées.
Trump n’espère pas que tous les écervelés, qui n’ont plus de notion du droit, retrouvent quelque bribe de raison, mais il compte sur le bon sens populaire et sur l’indignation de la population. La gauche folle souhaite un affrontement avec les forces armées dépêchées à la frontière et est prête à sacrifier quelques victimes, pour faire ployer Trump par un effet Malik Oussekine à la puissance mille. Mais la gauche est encore plus folle de croire que Trump va se laisser prendre à ce piège grossier. S’il le faut, l’armée ripostera et, d’ores et déjà, lui prépare un décret pour abolir le droit du sol et le Sénateur Graham prépare le projet de loi visant à modifier le 14e Amendement pour rendre ce décret présidentiel pérenne.
Alors, oui, ces élections nous concernent à plusieurs titres : tout exemple venant de la Maison Blanche a du poids !