Information de l’Incorrect :
Le délibéré a eu lieu à 14h, à la cour d’appel de Poitiers. Le procureur a totalement dégonflé le dossier en ne requérant que des travaux d’intérêt général. Aucune inscription au casier judiciaire n’a été retenue. Au terme du jugement, les élèves ont été astreints à des Travaux d’intérêt général, entre cent et deux cent cinquante heures selon les cas. Relaxe pour le délit d’entrave, relaxe pour le délit d’injure. Les TIG ont été donnés au motifs de dissimulation de visage, de vol d’un drapeau, et de bousculade.
Il reste à l’Ices de réintégrer les deux élèves exclus et de présenter ses excuses à tous les autres…
Addendum : on le signale qu’aucun élève de l’ICES n’a eu des TIG.

Philippe de Geofroy
C’est normal ils sont blancs et catholiques. Je crains même qu’ils ne soient hétéro !
F. JACQUEL
Quand les peines prononcées ici le seront avec la même sévérité pour les moudjahidines des enclaves musulmanes qui tendent des embuscades aux pompiers et aux forces de l’ordre, en se masquant et en s’encapuchonnant, en brûlant des drapeaux…, on verra la réaction de ces enclaves musulmanes. Mais I had a dream ! Jamais la “justice”, dans sa souveraine indépendance, n’osera prononcer de telles condamnations contre les moudjahidines, par peur d’attenter à la paix sociale et au vivrensemblisme…
Collapsus
Espérons que M. de Labarre saura reconnaître son erreur de sain discernement en sanctionnant ces élèves. C’est le monde à l’envers : des magistrats auront ramené à sa juste mesure ce chahut de jeunes ayant encore un idéal tandis que le directeur d’une école catholique se sera agenouillé devant le lobby des sodomites.
Collapsus
Je vous rappelle que c’est la même cour d’appel de Poitiers qui a relaxé les militants de Génération identitaire. Par les temps actuels de justice dévoyée qui s’acharne très et trop souvent sur les défenseurs de la morale et des principes inviolables, même si cette décision peut paraître encore un peu forte, elle n’est pas ce qu’on pouvait craindre, n’entraîne aucune conséquence pénale et n’a pas de commune mesure avec celle de l’exclusion de l’école qui, pour un étudiant, peut être dramatique. Sachons nous contenter de cette relative mais rare clémence des juges à l’égard de ceux de notre camp.
Et merci de vous préoccuper de mon salut…
philippe paternot
je me souviens que l’administration de cette école avait aussitot mis ces jeunes gens dehors! ne se souvenant pas que jésus avait renversé les étals des marchands du temple.
l soumission des zélites catholiques à la bienpensance est abjecte