Un sociologue américain, Paul Sullins, affirme que les
« problèmes émotionnels sont deux fois plus fréquents chez les enfants de couples de même sexe que chez ceux vivant auprès de parents de sexe opposé ».
Auteur d'une étude portant sur l’évaluation de 512 enfants vivant auprès de « deux papas » ou « deux mamans », il déclare :
« Il n’est plus exact de dire qu’aucune étude n’a permis d’établir que les enfants de familles homosexuelles sont désavantagés par ceux de familles de sexe opposé ».
Ces 512 enfants repérés grâce au US National Health Interview Survey présentent davantage de problèmes parmi lesquels de mauvais comportements, l’anxiété, difficultés relationnelles avec leurs pairs et difficultés de concentration. En revanche, la « parentalité biologique » offre un meilleur environnement :
« Elle permet de manière unique et puissante de faire la différence quant au devenir des enfants élevés par des parents de sexe opposé par rapport aux parents de même sexe. »
Paul Sullins en déduit qu’il incombe aux pouvoirs publics des devoirs précis :
« Le premier bénéfice du mariage pour les enfants peut ne pas résider dans le fait qu’il tend à leur donner des parents “améliorés” (plus stables, ayant davantage de moyens financiers, etc., bien que cela soit vrai) mais qu’il leur fait le cadeau de vivre avec leurs propres parents. »
Les deux formes familiales
« continueront d’être fondamentalement différentes, avec des effets contrastés jusque sur le plan biologique du bien-être de l’enfant, au détriment relatif des enfants élevés au sein de familles de même sexe ».
Cette étude portant sur 512 enfants est à comparer avec la plupart des études invoquées par les LGBT pour justifier la « parentalité » homosexuelle. Les 49 études citées en 2010 en ce sens portaient sur des échantillons moyens de 39 enfants, et seules 4 de ces études avaient des échantillons choisis au hasard : toutes les autres avaient rassemblé leur échantillon « représentatif » en s’adressant directement à des groupes gays et lesbiens.