Commentaire acerbe mais tellement vrai d’Yves Daoudal :
Les étudiants de l’ICES (Institut catholique de Vendée) poursuivis pour injures homophobes ont été relaxés de ce chef d’accusation par le tribunal correctionnel de La Roche sur Yon, mais condamnés pour… « entrave à la liberté de réunion ».
Ils ont l’air malin, tous ceux qui, à la direction de l’école, et du diocèse, hurlaient avec les loups et dénonçaient, comme le lobby et la meute médiatique, « l’homophobie » de ces jeunes, auquel le tribunal de la République laïque a donc reconnu le droit d’avoir la même opinion que l’Eglise catholique sur le sujet. N’est-ce pas, M. Eric de Labarre, si prompt à virer les « coupables » ? N’est-ce pas, Mgr Jacolin, qui avez même refusé de les entendre ?
Et, bien entendu, on peut toujours attendre leurs excuses. Ces gens-là ont toujours raison, même quand ils ont tort, puisqu’ils ont les lobbies et les médias du politiquement correct derrière eux. (Et c’est ce qu’ils osent appeler la mission prophétique de l’Eglise…)
Magistro78
La vérité toute simple est que l’ICES vit des subsides publics, tout comme notre non évêque à travers les déductions fiscales.
Au bilan, l’Eglise est toujours sous le régime du Concordat mais de manière non apparente. Soumission totale aux nervis du régime. Dès qu’un évêque sort de sa coquille, on exhume comme par hasard une histoire de pédophilie que l’on balance à la figure de notre courageux évêque. Le concert médiatique se lance et notre évêque regagne docilement sa coquille et se tient tranquille.
philippe paternot
ces jeunes n’avaient fait qu’imiter Jésus au temple en renversant leurs étals! là il n’y avait que deux panneaux d’affichage et de plus sur un trottoir public!
honte à ces zélites qui ont sanctionné ces jeunes pour avoir défendu leurs idées
DUPORT
Condamnés pour… « entrave à la liberté de réunion » !!!
Le tribunal correctionnel de La Roche sur Yon n’hésite pas à se ridiculiser et à ridiculiser la justice par la même occasion !
Comme si on avait besoin de cela.
Notre pays n’arrive même plus à se hisser au niveau des Républiques bananières.