Aux Philippines.
"Alors qu’on a pu dire que le fait d’orienter vers un tiers constitue une manière de se soustraire (à l’obligation créée par la loi), il s’agit en fait d’un faux compromis puisqu’il rend les soignants complices de l’accomplissement d’un acte qu’ils estiment moralement répugnant ou offensant".
"Evidemment, pour des raisons morales, les catholiques ne devraient pas rechercher à se faire employer dans les agences gouvernementales qui font la promotion de la contraception artificielle. Mais si les circonstances devaient les obliger à travailler dans de telles agences, ou s’ils étaient déjà employés par elles au moment où celles-ci ont mis en place une politique conforme à la loi de Santé reproductive, ces catholiques doivent savoir qu’ils ne peuvent pas être contraints à promouvoir, à fournir ou à distribuer des contraceptifs artificiels contrairement à leurs convictions religieuses ou morales."