Les Femen, toujours aussi pitoyables, ont voulu perturber le vote de Marine Le Pen ce matin à Hénin-Beaumont.
Les Femen contre la liberté de vote d’une femme
11 commentaires
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cad
une vue de l’enfer
flore
le moins que l’on puisse dire, c’est que les pauvres filles n’ont pas intérêt à se présenter à une audition du Crazy Horse.
Endemol, peut-être. Et encore.
gautier
Qu’on l’apprecie ou non, Mme LePen est une citoyenne ayant elle aussi le DROIT de vote. En revanche, je me demande si cette manifestation politique est légale un jour d’election… Ne sommes-nous nous pas supposés nous abstenir de toute expression d’opinion du vendredi soir minuit precedent un scrutin jusqu’à la clôture des scrutins ? N’y a t’il pas des sanctions prévues pour les contrevenants ?
Visiblement ces personnes n’ont que faire des lois de la république ! Mais tant qu’elles seront bien protegees, pourquoi se priveraient-elles ?
gautier
Et il me semble me souvenir que des personnes avaient été exclues d’un bureau de vote pour port de Tee-shirt ou pull LMPT ! Mais eux n’ont pas le soutien du gouvernement …d’où la différence de traitement…
Patrice Duport
Les femens voulaient empêcher Marine Le Pen de voter PS ! On aura tout vu !
Clovis
Qui les paie? Valls peut-être…
JEJ
Une manif politique devant un bureau de vote…
Tenter d’empêcher un électeur de voter…
Appliquons le droit : sanctionSSS pénales !
stephe
le tout avec la complicité des journalistes pour couvrir “l’évènement” commandé par le gouvernement. Bien entendu le procureur local va se saisir immédiatement de cette atteinte intolérable à l’exercice de la démocratie et exiger des sanctions terribles contre ces tenantes aux poitrines pendantes du retour à la dictature.
Myriam
Commandité
Par valse au flamenco!
L’emploi, l’emploi, elles, elles ont un emploi!!!!
Kelkin
Pas besoin de parler d’entrave au droit de vote ou autre délit du même acabit. Attentat à la pudeur devrait largement suffire. On commence déjà à s’habituer au viol de la loi de protection de la pudeur avec ces gorgones.
Marino
Actions de Femen au regard de la loi
En France, par exemple, selon l’article 222-32 du Code pénal, « l’exhibition sexuelle imposée à la vue d’autrui dans un lieu accessible aux regards du public » peut être punie par la loi d’un an d’emprisonnement et de 15 000 € d’amende
À Paris plus spécifiquement, la Préfecture de police considère que « toute tenue qui laisserait entrevoir les parties génitales ou la poitrine constitue une exhibition sexuelle, punissable d’un an d’emprisonnement »
En décembre 2013, la députée UMP Valérie Boyer pose une question au gouvernement sur le financement des Femen, en s’interrogeant également sur leurs « motivations profondes » ; elle mentionne en particulier des possibles « subventions et aides en nature, comme le prêt de locaux, accordées par des collectivités locales telles que la Mairie de Paris
CQFD