Les financiers des invertis de la Gay Pride de Bordeaux
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stephe
Pour être complet il ne leur manquait que la fondation DSK , les femens, le syndicat de la Magistrature et Dédé la saumure qui lui n’en revient toujours pas d’avoir été relaxé (si l’on peut dire)
esprit libre
Il faut prendre la peine de regarder et de réfléchir : ces groupuscules – même la DCRI évalue le nombre de militants pour l’ensemble du pays à 2 000 – vivent de l’argent public, donc de nos impôts.
En effet, les mécènes du militantisme et du prosélytisme homosexualistes sont les collectivités publiques et, s’agissant des associations qui apparaissent à leurs côtés, elles vivent elles-même des subventions des dites collectivités publiques. Les groupuscules étant des coquilles vides, sans adhérents cotisants, nos impôts financent ainsi en totalité cette subversion.
D’où le besoin de renouveler une classe politique qui accepte cela, même si c’est souvent par paresse ou crainte. C’est possible, il ne s’agit pas d’ironiser. Je connais de près des élus qui s’y emploient et qui, s’ils étaient plus nombreux, inverseraient le cours des choses. Tout pourrait aller vite.
pmc
Marrant, “les dérailleurs” !
Z’ont pas osé “le pédalier” ?
JEJ
On remarque l’Université de Bordeaux !
Gisèle
Et celle de Nantes ??
Madame le maire , sans aucun doute …
Les ** valeurs ** républicaines que les français de confession musulmane , vont devoir lancer ** haut ** et ** loin **
Affaire à suivre …….
Exupéry
Le Bordelais est très engagé… Un effet Juppé ?