La Grande loge féminine de France a estimé dans un communiqué qu’il fallait éviter de donner un statut de personne au foetus "afin d’éviter les dérives potentielles remettant en cause le droit à l’interruption volontaire de grossesse". Elle
"comprend la nécessité pour les femmes de pouvoir faire leur deuil. Cette situation est sans aucun lien avec notre droit qui définit les droits de la personne. Le législateur a évité de donner un statut de personne à l’embryon, au foetus. Cette position doit être maintenue".
La GLFF se déclare "vigilante à toutes les exploitations particulières risquant de remettre en cause les droits des femmes".
De l’enfant, il n’est pas question : ce n’est qu’un déchet pour ces féministes en tablier ! Voilà bien une certitude toute faite complètement irrationnelle (voir ici).