Aujourd’hui, en regagnant Alger pour des entretiens avec Abdelaziz Bouteflika, Nicolas Sarkozy a fait une étape symbolique au sanctuaire dédié aux "martyrs" de la guerre d’indépendance.
Par ce geste, le président de la République Française légitime le terrorisme pratiqué par le FLN, minorité indépendantiste durant la guerre d’Algérie. Il abandonne, comme son prédécesseur le général De Gaulle, les soldats Algériens qui se sont battus contre ces terroristes et qui ont du choisir entre la valise et le cercueil.
Abandonnés par l’Etat en 1962, ils sont chassés de l’Histoire par ce même Etat en 2007.