C'est la question posée par le père Vincenzo Nuara, organisateur du congrès qui s'est tenu à Rome le week-end dernier et intitulé «Un grand don pour toute l'Eglise» à propos du Motu proprio Summorum Pontificum. Et voici la réponse qu'il a apportée :
"Si c'est le cas, c'est un grand problème pour l'Eglise. Mais souvent,
là où les évêques et les curés la refusent, cela pousse les jeunes
(laïcs et prêtres) à l'aimer et à la pratiquer. Il y a donc de grands
signes d'espérance, en particulier de nouvelles vocations pour la messe
en rite extraordinaire".
Selon une étude, un séminariste français sur quatre se destine à la célébration de la forme extraordinaire du rite romain.
PK
Ce qui est particulièrement « amusant » avec cette histoire est que cette histoire de messe en latin va se résoudre toute seule, faute de combattant : ce sont principalement les jeunes qui la veulent et les vieux qui la bloquent…
Encore quelques années et l’affaire est finie.
Andrepaul
J’ai posé la même question à mon curé. Il m’a répondu qu’il ne la connaissait pas. Et pourtant nous sommes dans le Var où l’évèque du lieu est très favorable à la messe traditionnelle.
Ceci dit, mon curé n’est pas hostile, il a même fait de la publicité pour le motu proprio lors de sa publication.
Il faudrait organiser des stages de remise à niveau.
Ethos
Les “laïcs” dans l’Eglise EN France, sont également très largement opposés à l’application naturelle du motu proprio.
Ils composent la majorité des équipes pasto des paroisses.
A Fuir pour reconstruire à côté, très très vite, avant que les églises soient données en masse à ceux dont on ne voudra jamais, une fois que le problème se règle de lui-même par remplacement naturel…
Fabien
Pardonnez mon ignorance mais il s’agit de quoi exactement?
[La grosse presse parle abusivement de “messe en latin”. Mais vous pouvez cliquer sur le 2e lien du post pour en savoir plus. MJ]