A lire sur Nouvelles de France.
"À tous mes frères homos qui ont cru bon de signer le manifeste Barjot, je veux, avant de conclure, exprimer ma sympathie. Sympathie
au sens originel du mot : douleur partagée. Car, homo moi-même, je
partage leur souffrance, et je ne doute pas de leurs intentions. Qu’ils
ne prennent pas ma réaction pour une attitude de rejet ou de jugement.
Mais je veux dire : attention ! Lorsque le communisme attaquait
l’Église, beaucoup de mouvements catholiques ouvriers se sont laissés
plus ou moins contaminer par la dialectique communiste (à tel point que
l’archevêque de Lyon, après la chute du mur de Berlin a cru devoir
demander publiquement pardon pour la « connivence » de certains
mouvements « catholiques » avec le marxisme). Aujourd’hui que
l’idéologie gay a remplacé le marxisme (car le lobby gay est aux homos ce que le communisme fut aux travailleurs),
sachons résister fermement à la dialectique gay. N’entrons surtout pas
dans l’erreur fondamentale qui consiste à diviser l’humanité entre
« homos » et « hétéros ». À cet égard, à quoi rime de demander une
« place dans l’Église » pour les homosexuels ? Est-ce que l’Église
n’accueille pas tous les hommes ? Pour elle, il n’y a plus ni juif, ni
grec, ni homme, ni femme (Gal 3, 28). Alors, a fortiori, ni gay ni straight !"