Délirant :
Trois universitaires américains ont réussi à publier SEPT articles de « grieving studies » dans des revues dites sérieuses. C’est un canular organisé par ces trois universitaires pour montrer à quel point les études de genre/race/identité/ etc. sont devenues une simple orthodoxie de langage. Ils ont réussi à faire publier des horreurs par des revues en casant les mots-clés genre/cis/hommes blanc/ cisheterosexual/ etc. à tour de bras
Entre autres :
- un qui propose d’interdire aux garçons blancs de parler en classe, et de les enchaîner à leur chaise dans une optique pédagogique d’expérimentation de la réparation.
- un qui explique que les messieurs pratiquant l’onanisme en pensant à quelqu’un sans lui avoir demandé avant sont des prédateurs sexuels
- un autre qui explique que l’astronomie occidentale devrait être remplacée par quelque chose de plus féminin (je vous laisse lire l’extrait dans le fil, qui parle d’insérer de la mythologie, de la danse et conclut sur la nécessité d’une science alternative).
- Un article qui est une traduction en anglais, mutatis mutandis d’extraits de Mein Kampf
- une étude de la culture du viol chez les chiens
- La seule différence avec l’époque Sokal, ce sont les mots clés à utiliser pour publier des foutaises sous couvert d’études académiques. Maintenant, c’est, indéniablement, « Genre, Races, Identités ».
A.F
Cela explique beaucoup de choses dans le succès d’un certain Donald Trump …