Lu dans La Lettre A, datée de demain :
"Hala Kodmani, la journaliste chargée de couvrir la guerre en Syrie pour Libération, n'est autre que la sœur de Bassma Kodmani, la porte-parole du Conseil national syrien, principale instance de l'opposition syrienne. Cette ancienne rédactrice en chef à France 24 préside l'association française Souria Houria, qui milite pour le renversement du régime de Bachar el-Assad."
jewdocha
Poser la question c’est y répondre. Surtout en ce qui concerne ce quotidien. Joli modèle de la pravda.
Luc
La vision syrienne vue par la presse d’ici est assez partisane.La Croix de ce jour rendait compte avec assez d’objectivité,enfin je trouve.
Les autres médias jouent le grand méchant loup (Assad) contre les pauvres 3 petits cochons et veulent persuader le “peuple” qu’il en est ainsi.Sauf que le “peuple” n’est pas si idiot:qui sont ceux qui résistent,comment et avec quelles armes font-ils pour résister si bien,quid de la manipulation?
Et des journalistes entrés sans autorisation en Syrie et que les journaux télévisés exhortent à sauver…Est-ce bien sérieux?
Roldic
Après nous avoir menti au sujet du printemps arabe(Egypte,Libye,Tunisie)et sur d’autres conflits,les médias continuent leur désinformation.
KIEFFER
Depuis l’affaire des médias en Roumanie ,il y a déjà plusieurs années..le soi-disant’ printemps arabe ‘ en Tunisie,Egypte et…Libye et tous les mensonges assénés de part et d’autre ,on ne saurait être trop prudent pour chercher la vraie réalité et s’engager !
Papon
La carte de presse est la couverture la plus frequente chez les barbouzes…
trahoir
Un ancien chef de la DGSE parlait ouvertement dans ses “mémoires” de son copinage avec Le Monde. La presse française est la plus perméable au service de police et de renseignement (bien plus que les anglo saxons !!!), parce qu’elle est une grosse consommatrice de drogue et est donc manipulable, mais aussi parce que la plupart des cadres de la police, de l’armée et des journaux ont été recrutés dans les mêmes années Mitterrand – Chirac et partagent le même bain culturel post mai 68 (voir les affaires DSK – Carlton, etc…).