Quiconque prétendrait l'inverse porterait atteinte à l'honneur des jeunes de banlieue et pourrait se retrouver convoqué par un juge d'instruction. Aussi convient-il de ne pas faire d'amalgame : si d'après le préfet de Seine-Saint-Denis, "une soixantaine de personnes issues du 93 sont actuellement en Syrie, en Irak ou sur une autre zone de combat" pour y faire le jihad, précisons qu'il ne peut évidemment s'agir de jeunes de banlieue.
Les jeunes de banlieue ne partent pas faire le jihad
Par Louise Tudy
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