Le Point poursuit sa liste d'articles sur les franc-maçons. Cette fois, il s'agit des juges. Extraits :
"une histoire […] a pollué les débats au sein du Conseil supérieur de la magistrature (CSM) sortant. L'un de ses membres était en même temps mis en cause dans une affaire privée d'ordre familial et a bénéficié d'un arrêt favorable de la cour d'appel de Toulouse, cassé depuis par la Cour de cassation. Le justiciable membre du CSM, comme le président de la formation de jugement de Toulouse, se connaissent et sont tous les deux francs-maçons. Dans le même temps, une action à fin de subsides est exercée devant le tribunal de Paris à l'encontre du magistrat membre du CSM. Un dossier assez banal, jugé durant l'été 2010. Banal ? Pas vraiment, puisque la représentante du parquet est l'objet de pressions telles que le procureur de la République en personne les déplore. La main invisible, en l'espèce, s'est montrée trop insistante."
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lama12
Il faut faire attention, non seulement aux fm, mais aussi aux personnes qui leur sont liées (conjoint, assistant..).Dans certains cas, c’est cette personne qui est fm, ce qui permet au responsable de prétendre être libre de tout lien.
oliroy
Prions pour que la representante du parquet améne la scission entre les institution de l’état et la secte maçonique.
Prions pour elle car elle est face à l’Adversaire.
Andrepaul
Ne parlez pas de ce vous ne connaissez pas, les fonctionnaires, magistrats, militaires, Franc-maçons ou pas ont un devoir de respecter leur déontologie.
Il faudrait arrêter de fantasmer sur ce marronnier journalistique. Ceci étant il peut y avoir des exceptions comme dans tout corps de métier. Et pourquoi pas déclarer que vous êtes membre du Rotary club, ou de telle formation politique ou de telle religion?
[Oui, tous les juges devraient déclarer leurs affiliations. Ce serait plus juste de savoir si le juge et le jugé appartiennent à la même loge. MJ]
C.B.
A l’attention d’Andrepaul
Certes, il y a une déontologie, mais tous les fonctionnaires ne la considèrent pas de la même manière.
Au deuxième constat d’une distribution de propagande électorale dans les casiers personnels en salle des professeurs, je suis allée présenter le document [en faveur d’un candidat rouge, très rouge] au chef d’établissement, en m’étonnant de trouver ce genre de littérature parmi les documents administratifs habituels, et en mentionnant: “je ne suis pas particulièrement choquée par un tel papier, mais je voudrais être certaine que personne ne protesterait si d’aventure un document similaire mais en faveur d’un candidat à l’autre extrémité de l’échiquier politique, était diffusé de la même manière”. Depuis, il n’y a plus eu de documents politiques dans les casiers (ni le mien, ni ceux des voisins…)
Christophe
@ “Andrepaul” :
– soit vous vous y “connaissez” et donc vous êtes un menteur car les franc-maçons considèrent leurs lois comme suprèmes par rapport à nos lois républicaines “profanes” lorsquelles ne sont pas maçoniques.
Pour défendre un “frère” (franc maçon) contre un non frère (non franc maçon), ils sont prêts à faire tous les faux sans aucun état d’âme (comme l’assassinat d’un bébé dans le ventre de sa maman)
– soit vous ne vous y “connaissez” pas, et dans ce cas merci de ne pas venir mentir sur le salon beige, vous avez l’embarrat du choix sur les autres forums…
christophoros
@ “Andrepaul” :
La liste d’avancement police est notoirement l’objet d’une navette vers les loges.
Une enquête (délinquance financière essentiellement)sur un frère trois points ne peut être conduite que par un non-initié, et à défaut elle n’est bien entendu suivie que d’une extinction de l’action publique.
Savez-vous l’origine du terme journalistique “marronnier”?
Je pense que vous faites un contre-sens pour évoquer une notion qui se rapproche plus des “poncifs”
En effet:
Quelques temps après le massacre des Gardes Suisses par les émeutiers le 20 juin 1792 au Cours la Reine à Paris, près de leur tombe, un marronnier fleurissait tous les ans au mois de mai.
Bien que d’importance relative, un journal évoqua le fait dans ses colonnes. Très vite, devant l’intérêt manifesté par les lecteurs, l’ensemble de la presse ne tarda pas, chaque année, à relater « l’évènement ».
Le « marronnier » du journaliste était né.
Or l’évocation de la présence maçonnique au sein de la police comme de la magistrature n’est pas cyclique: Elle est constante!
Bien à vous
Charité en vérité!
C+