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Europe : politique

Les élections européennes de 2009 : la grande peur des eurocrates

Henri Védas estime :

Ue "C’est un signe de la partialité des médias que de ne pas faire le lien entre la chute simultanée de Brown et de Sarkozy et Lisbonne."

Pour autant, il ne croit pas à un retour de bâtons anti-européiste lors des élections européennes de 2009, mais plutôt à une abstention massive, signe d’une résignation des peuples, fatigués mais conscients d’être bernés. Ceci étant, les eurocrates sont préoccupés par une éventuelle défaite en 2009. Ce qui met la puce à l’oreille :

"Enfin, en France, on évoque étrangement l’entrée de Philippe de Villiers au gouvernement après les municipales. Quelle meilleure manière pour l’UMP de neutraliser la campagne européenne du MPF ?"

Michel Janva

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5 commentaires

  1. Au moment de voter je penserai à la Serbie:
    “Je vous écris du Kosovo pour rétablir quelques vérités…”
    http://www.rue89.com/2008/02/20/je-vous-ecris-du-kosovo-pour-retablir-quelques-verites
    La dernière blague bruxelloise:
    – La Commission européenne exhorte la Serbie à renoncer à son “passé nationaliste”
    http://fr.rian.ru/world/20080226/100091044.html

  2. On parle surtout de l’entrée d’Allègre.C’est unexpert géologue spécialiste de la “dérive des continents”.The right man in the right place.
    Que le “Vicomte” ne se jette pas dans la gueule du loup ; ce serait sa mort politique définitive.RIP.Prions.

  3. n’est il pas deja mort?

  4. Je ne partage pas le pessimisme de Henri Védas.
    Les élections européennes de 2009 auront un parfum de guerre.

  5. Sans vouloir me faire le chantre du Villierisme, je ne crois pas du tout Villiers capable de rejoindre le gouvernement. S’il le fait, il a plus à perdre qu’à gagner, car ce serait une trahison de ses électeurs et de ses idées.
    Je n’ose pas croire que Villiers ne soit pas sincère dans son combat national (en dépit de ses positions au sujet de l’Europe il y a 20 ans). Même si on n’a pas du tout entendu Villiers ces derniers mois quant au traité constitutionnel de Lisbonne, je ne pense pas qu’il ait trahi ses engagements patriotes pour une ambition ministérielle. Mais peut-être suis-je naïf ?

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