Lu sur Réinformation.tv :
"L’une des plus prestigieuses universités au monde, née sur le riche terreau médiéval de l’Occident chrétien, succombe à son tour à la pire forme (actuelle…) du politiquement correct : celle qui veut systématiquement éliminer la différence entre les sexes. L’université d’Oxford vient d’inciter fortement ses étudiants à utiliser un pronom neutre plutôt que « il » ou « elle » pour éviter tout soupçon de « discrimination » à l’égard des transgenres. Ce sera « ze » plutôt que « he » ou « she ».
Il s’agit plutôt d’une recommandation que d’une obligation, mais les directives présentées dans un dépliant remis à chaque étudiant d’Oxford par le biais de l’Union des étudiants sont insistantes. Utiliser des pronoms traditionnels revient à suggérer qu’il n’existe que deux genres, explique le texte. C’est donc en soi une discrimination.
Etant donné que le fait d’utiliser délibérément le « mauvais » pronom pour une personne transgenre constitue déjà une transgression du code de conduite de l’Union des étudiants, la mise en garde est lourde de menaces. Ce qui est aujourd’hui recommandé pourrait, demain, devenir la norme. […]
Et le phénomène s’étend au Royaume-Uni : l’université de Cambridge s’apprête à prendre un chemin semblable. Comme l’a expliqué Sophie Buck, chargée du bien-être étudiant à l’Union des étudiants, les conférences y commencent toujours par une présentation utilisant des pronoms neutres : « Cela fait partie d’un ensemble d’initiatives qui visent à rendre l’union “intersectionnelle”. »
Si c’est la pr atique des universités qui forment les « élites » mondiales, on peut être assuré qu’elle s’étendra demain dans le monde entier… […]"