Les médias français aux ordres du lobby LGBT oublient de faire leur travail :
« La Pologne rongée par la haine anti-LGBT » (La Croix), « Pologne : une gay pride attaquée par des ultranationalistes » (Le Figaro), « Une Marche des fiertés LGBT à Bialystok, bastion nationaliste en Pologne, vire au cauchemar » (Le Monde). Le bilan de ce « cauchemar », ou de ce « pogrom » pour reprendre le terme utilisé par Robert Biedron, le leader du parti LGBTiste Wiosna (Printemps) ? Zéro mort, un adolescent de 14 ans blessé à la clavicule par un hooligan (qui a été arrêté), un autre victime de vol avec menaces, une policière blessée à la jambe, zéro voiture brûlée et zéro vitrine brisée à la Marche des égalités organisée le 20 juillet dernier, pour la première fois dans la ville de Bialystok, dans l’est de la Pologne. Une gay pride qui a effectivement suscité des contre-manifestations nombreuses. Face aux quelques centaines de militants LGBT, des milliers de personnes venues s’y opposer après les provocations anticatholiques et les profanations commises lors d’autres manifestations du même type à Gdansk, Varsovie et Czestochowa (voir Présent du 19 juin).
La contre-manifestation qui a fait du bruit, et qui est à l’origine des violences, c’est celle organisée par des supporters de foot, souvent proches des milieux nationalistes, venus de toute la Pologne pour « défendre la ville contre les pervers », car « tous ont vu leurs homoparades à Varsovie, Gdańsk et Częstochowa où les symboles religieux de la foi chrétienne ont été ouvertement profanés et moqués ». Résultat des courses : quelques heurts avec la police qui protégeait les manifestants et plusieurs dizaines d’arrestation. Puis la gauche en a profité pour lancer sa campagne électorale en organisant, huit jours plus tard à Bialystok, une manifestation contre la haine et la violence, mais apparemment uniquement lorsqu’elles visent les milieux LGBT. […]
Michel
On n’est qu’à peine surpris de trouver Le Figaro dans la liste des loups hurlants, c’est dans son ADN d’être dans le sens du vent, quelle que soit sa direction : ce fut un journal très “occupé” pendant la guerre, qui ne cessa de paraître que le 11 novembre 1942 pour reparaître moins de 2 ans après, le 25 août 1944, grâce à l’appui de… Louis Aragon, ce qui explique qu’il doit donner des gages de temps en temps aux maîtres du moment…
philippe paternot
la Croix premier journal cité! les catho de gauche seraient ils pro-lgbt ? anti manifestation de la ferveur religieuse des polonais,
quant à la presse, elle est dans la doxa permanente, et ils s’étonnent d’être de moins en moins acheté par les lecteur ou ignorés par les téléspectateurs.
Greg N
#jesuislgbtophobe
A.F
Satan est divisé contre lui-même. Les Polonais sont les pires pro-Yankees de toute l’Europe, et ce sont les mêmes Yankees qui exportent ces miasmes sociétaux LGBTopédiques.