Lu dans Les 4 Vérités :
[L]es militants écolo-pastèques se caractérisent, non par l’amour de la création, mais par le nihilisme. Si nous avions besoin d’arguments, les récentes actions de militants écologistes radicaux recouvrant les « Tournesols » de Van Gogh de soupe de tomates ou les « Meules » de Monet de purée seraient particulièrement emblématiques. Après cette dernière « action », les militants ont donné cette « explication » (selon la traduction du « Point ») :
« Les gens meurent de faim, de froid, les gens meurent. Nous vivons une catastrophe climatique. Et tout ce dont vous avez peur, c’est de la soupe de tomate ou de la purée de pommes de terre sur un tableau. Vous savez de quoi nous avons peur ? Nous avons peur car les scientifiques nous expliquent que nous ne pourrons pas nourrir nos familles après 2050. Est-ce qu’il faut de la purée de pommes de terre sur une peinture pour que vous écoutiez ? Cette peinture ne vaudra plus rien si on doit se battre pour de la nourriture. »
La première chose qui frappe est l’absurdité de l’action : en quoi détruire une œuvre d’art pourrait-il aider à une quelconque prise de conscience écologique de quiconque ? Certes, l’action fait parler. Mais nullement d’écologie.
La deuxième remarque qui vient spontanément à l’esprit réside dans l’incohérence du propos. Le mouvement radical qui est intervenu dans le musée de Postdam et a tenu ces propos s’appelle « Letzte Generation » (dernière génération). Il prône la grève des naissances pour « sauver la planète ». On voit donc mal à quel titre il pourrait s’inquiéter du sort de nos familles en 2050. Les seuls qui auraient une légitimité à parler sont précisément ceux que détestent les gauchistes, à savoir ces parents conservateurs qui songent à l’avenir de leurs enfants.
Mais, plus que tout, ce qui laisse pantois, c’est le mépris – au nom d’une nature fantasmée et littéralement idolâtrée – pour toute culture. Il est délirant d’imaginer « sauver la planète » avec nos petits bras musclés – comme si nous allions imposer au soleil de chauffer moins fort en plantant des éoliennes. Mais plus encore de prétendre la sauver par des actions aussi idiotes.
Cependant, comme souvent avec les gauchistes, autant leurs buts affichés n’ont guère de sens, autant leurs moyens sont éloquents : ces militants ne s’attaquent pas sans raison aux joyaux de la culture occidentale. Ce qu’ils veulent, en définitive, ce n’est pas « sauver la planète », mais bel et bien détruire et salir ce qui est beau.
cadoudal
l’ idéologie écologique est surtout une pollution intellectuelle qui s’ attaque au bons sens, à la raison, à notre patrimoine collectif..
un nihilisme destructeur de la civilisation , qui veut nous ramener à l’ âge des cavernes , nous appeler au culte païen de la Pachamama.
l’ écologie est devenue un instrument privilégié de l’ entreprise de démolition appelée Franc Maçonnerie, fière ce nouvel outil;
qui s’ ajoute à la collection: culte du satyre LGBTQ, importation de djihadistes, Grand Remplacement .
René Clémenti
On est très très loin de Jan Palach protestant contre l’abolition des libertés en Tchécoslovaquie ou du moine bouddhiste Thich Quang Duc…
Et pourtant, à en croire nos gugusses écolo, l’enjeu aujourd’hui n’est rien de moins que la fin de l’espèce humaine !
SDSTA
Ces écolos prônent la grève des naissances pour « sauver la planète » , mais par le moyen de l’avortement ou des relations stériles homosexuelles : pas question de de supprimer ou même de diminuer la jouissance sexuelle sans entrave !!