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Europe : politique / France : Politique en France

Les patriotes se réjouissent du non à l’UE

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27 commentaires

  1. après Belgrade, bombardements US sur Athénes?

  2. Champagne, ou plutôt ouzo!
    Vive les Grecs!!

  3. Çà aussi le mérite de remettre à leur place les instituts de sondage (menteurs). Les médias grecs pronostiquaient 43,3% pour le oui au plan d’aide européenne et 39,9% pour le “non”.

  4. Les Grecs sont redevenus un peuple digne ! Un miracle est arrivé ! Malheureusement, Tsipras n’est pas si libre que çà ! Et ce n’est pas la première fois qu’un accident lié aux banksters arrive ! Après l’Islande, la Grèce…. Et la France alors ? Quand est-ce qu’elle enverra promener ces traitres que sont les Hollande et Sarkozy ?

  5. Bravo aux Grecs ! A bas la Troïka, vive l’Europe des nations libres !

  6. OUI et méluche comme d habitude attendait au fond de sa toile pour essayer de récupérer politiquement cette leçon de démocratie en faisant semblant d appeller a un rassemblement a paris
    comme le rassemblement aurait eu lieu de toutes manières il pourra ainsi dire que c est lui que les gens suivent ..
    eh oui ! ils sont toujours a l affut !

  7. Les Grecs ont montré le bon exemple en disant NON à l’eurocratie totalitaire au service de la finance apatride, ennemie des nations et des peuples.

  8. Bof…
    Lesdits patriotes français feraient mieux de défendre le peuple français plutôt que de sombrer dans des discours démagogiques dont notre président et sa clique nous gavent suffisamment.
    Les Grecs sont-ils patriotes ou malhonnêtes? Il est possible de dénoncer la mainmise européenne sur les peuples sans pour autant accepter le hold-up grec voire même en faire l’éloge. Que la Grèce dise non à l’Europe, qu’elle ait la loyauté de rembourser tout ce qu’elle a perçu en trop (dont elle a bien profité mais qu’elle semble renier désormais…), qu’elle reprenne son indépendance, et là on pourra parler de patriotisme. Pour l’heure, il s’agit de faire payer aux autres peuples européens la gabegie grecque; ce n’est pas du patriotisme, c’est du vol.

  9. Ci-dessous la lettre d’information de ceux qui gèrent mes placements financiers :
    Compte tenu des événements intervenus ce week-end à Bruxelles, un certain nombre de questions se posent naturellement sur le dossier grec.
    Nous tenions à vous apporter quelques éléments de réponse.
    La Grèce doit honorer mardi 30 juin une échéance de prêt au Fonds Monétaire International (FMI) pour un montant de 1,6 Md€. Cela faisait 5 mois que les ministres des finances de la zone négociaient pour débloquer une nouvelle tranche de prêt afin que le pays puisse honorer cet engagement. Les Européens demandent aux Grecs de mettre en place des réformes en contrepartie de cet argent supplémentaire. Les négociations achoppent sur l’ampleur des réformes. Alexis Tsipras, le Premier ministre grec, a annoncé samedi la tenue d’un référendum pour le 5 juillet prochain. Les grecs sont amenés à se prononcer pour ou contre les propositions des créanciers. Lui-même appelle à voter « non ». Les Européens ont alors décidé de ne pas reconduire le programme de renflouement qui devait se terminer le 30 juin.
    La Grèce devrait donc être en défaut de paiement demain, mardi.
    Est-ce que cela signifie une sortie de la zone euro ?
    Pas nécessairement. Cela va surtout dépendre du résultat du référendum. Si le oui l’emporte, Alexis Tsipras s’est engagé à mettre en œuvre le plan proposé par les Européens. Si c’est le non qui l’emporte, il est dès lors fortement probable que la Grèce quitte la zone euro.
    Quelles sont les conséquences d’une sortie de la zone euro?
    Pour la Grèce, les conséquences sont dramatiques. Il faut d’abord qu’elle évite la faillite de son système bancaire, qui ne tient que grâce à l’aide d’urgence de la Banque Centrale Européenne (BCE). Si la Grèce sort de la zone euro, la BCE ne soutiendra plus les banques grecques. Il faudra aussi que le gouvernement grec trouve de l’argent pour payer ses fonctionnaires et les retraites. L’État tentera d’émettre de l’argent dans une sorte de « monnaie temporaire », en attendant le retour de la drachme. Le plus dur sera de convaincre de nouveaux investisseurs de leur prêter de l’argent, alors que le pays vient de faire défaut. Il faudra aussi les convaincre d’accepter d’être remboursés dans une monnaie dont la valeur va fortement diminuer.
    Pour la zone euro, les conséquences sont de natures très différentes. Économiquement, le poids de la Grèce est très faible. Une sortie de la zone euro n’aurait pas d’impact économique sur le business en général. Le risque est plus d’ordre psychologique. La zone euro est en pleine reprise économique depuis le début de l’année. Il ne faudrait pas que la confiance qui revient peu à peu soit entachée par cet épisode. La zone euro doit éviter le risque de contagion. Si un pays sort de la zone, pourquoi un autre n’en sortirait-il pas à son tour ? Le risque est plus d’ordre politique que financier. Financièrement, l’Europe s’est dotée de plusieurs outils lors de la crise de 2012, qui peuvent agir comme véritable pare-feu en cas de crise des marchés. En revanche, il ne faudrait pas que les partis populistes européens se lancent dans une surenchère sur Siriza.
    Comment les marchés financiers réagissent-ils ?
    Les marchés financiers plient mais ne rompent pas. Il est intéressant de regarder la réaction des différents marchés actions, taux et devises. Sur les actions, la réaction est forte, mais il n’y a pas de panique pour autant. L’indice CAC 40 évolue au dessus du plus bas atteint pendant les négociations (4790 pts le 17 juin). Le marché des taux résiste très bien à la crise. Les dettes souveraines de l’Espagne et de l’Italie bougent assez modérément. La dette du Portugal est plus affectée. Enfin, l’euro baisse lui aussi, mais très modérément, puisqu’il est passé de 1,12$ vendredi à 1,1150 lundi.
    Globalement, les marchés financiers résistent assez bien à la crise grecque et ne marquent pas de rupture forte.
    La politique monétaire de la BCE fonctionne bien pour l’instant, et empêche tout risque de contagion financière sur les marchés. Le risque de sortie de la Grèce de la zone euro est fort mais il n’est pas encore certain. Les Grecs vont expérimenter cette semaine le contrôle bancaire. Ils pourraient être tentés de voter oui dimanche prochain pour revenir à une situation plus apaisée.
    Si le non l’emportait, cela marquerait pour la zone euro la fin de la crise grecque qui dure depuis 5 ans. Au final, c’est peut être un mal pour un bien. Les marchés ont horreur de l’incertitude, un épilogue comme celui-là pourrait marquer le début d’une nouvelle histoire, à condition que les pays membres soient capables de faire un geste politique fort pour affirmer l’intégrité de la zone euro. A ce stade, le scénario actuel ne remet pas en cause notre intérêt de détenir des actions de la zone euro pour profiter de la reprise économique. On le sait, il faut accepter la volatilité qui va de pair avec un actif dont le potentiel d’appréciation est élevé. Cette période risque donc d’être encore chargée en rebondissements. Nous ne manquerons pas de revenir vers vous si nous étions amenés à revoir nos positions.
    Sachez en tous cas que votre conseiller se tient à votre disposition pour faire un point plus personnalisé sur l’impact de cette crise sur vos avoirs. N’hésitez pas à le solliciter.

  10. Les patriotes se réjouissent du non à l’UE ? Quels patriotes ? Pas les patriotes grecs, apparemment, puisque Yannis Varoufakis, le célèbre ministre rock’n’roll de l’Économie grec (ou le ministre de l’économie rock’n’roll grecque, c’est selon) vient de déclarer : “C’est un oui à l’Europe”.
    Donc voyez, il va falloir que les uns et les autres accordent leurs violons, leurs bouzoukis et leurs binious bretons, et apparemment c’est pas gagné.
    Au passage, on notera le somptueux culot et la totale déconnexion de la réalité, bien caractéristique des communistes, qui peut faire dire aux promoteurs de ce référendum qu’un non à l’Europe est un oui pour l’Europe.
    La mort c’est la vie, noir c’est blanc, la servitude c’est la liberté, etc. On connaît la chanson.
    Bon courage aux Grecs, ils en auront besoin.

  11. Merci aux Grecs de cette démonstration d’inaptitude de l’Europe..depuis 30 ans! et du réveil des peuples.
    Mieux vaut mourir debout que de vivre à genoux!
    Il est urgent de revoir le rôle de préteur de la BCE, et des banques qui s’enrichissent et encouragent les dettes des pays..quitte à aller au mur.
    Donc, Revoir le traité de Maastrich!
    Une Europe irresponsable, cela ne peut marcher..Mais ce sont les peuples qui perdent et les financiers qui gagnent à tous les coups!C’est pour cela set seulement pour cela que l’Europe existe aujourd’hui, avec le concours des technocrates bien payés pour saborder leurs patries. A quand les tribunaux jugeant ces fossoyeurs?

  12. Le PCD semble bien décider à contrer Bruxelles en ce moment :
    -tribune Poisson contre Tafta
    -et maintenant ils se félicitent du NON.
    A suivre !

  13. Lucie
    Lisez deux ouvrages sur la création de la FED ( Mullins et Sutton), puis regarder les vidéos d’Etienne Chouard , en particulier ” arnaque des impôts ” , vous constaterez que tout est pipé depuis le début et depuis 3 siècles (1694) avec la création de la première Banque dite -Centrale – à Londres.
    Toutes les Nations sont roulées dans la M..farine, il n’ y a pas de crise mais une monstrueuse imposture contre les peuples. La Grèce est victime, en attendant les autres, d’où il est nécessaire de se libérer des cosmopolites d’urgence.

  14. Bravo aux Grecs CHRETIENS qui disent Me…e à l’Europe des LGBT islamophiles !!!!

  15. sur itele Philippot inaudible!
    le mondialisme se combat avec des méthodes et des moyens autres que les règles du systèmes!

  16. Lucie,
    En terme de dette, la France, les USA ou la plupart des pays de l’UE sont très très mal placés pour faire de leçons de bonne gestion de l’argent.
    Contrairement à la France, la Grèce est en excédent primaire ( dépenses d’Etat < recettes d'Etat ) à faire pâlir le dictateur Junker. Alors que l'on arrête de nous faire croire qu'ils nous doivent à vous ou à moi du fric. Ils le doivent au bankster, comme nous. L'Islande n'a JAMAIS remboursé sa dette mais à judicieusement préféré mettre en taule les banquiers et politiques responsables. Elle sen porte très bien et les médias préfèrent le taire pour éviter ce très bon exemple !

  17. Tous les lecteurs se réjouissent. Pour info, la dette grecque est en partie détenue par la France. Tout défaut sur cette dette implique que nous paierons l’incurie, la corruption, le népotisme et le clientélisme des politiciens grecs. Cela vous réjouit, tant mieux. Je suis parti pour éviter ce nihilisme français.

  18. C’est toujours une faute humaine, psychologique, diplomatique, économique, stratégique…une faute majeure d’écraser et de désespérer une personne ou un peuple. Quand on n’a plus rien à perdre ou presque, on est libre.
    On aura la misère, on l’a déjà..pourquoi le déshonneur en plus?
    On a vu ce qui est advenu de ceux qui préféraient le déshonneur à la guerre et qui ont eu les deux.
    Les Grecs ne sont pas irréprochables? Pire menteurs et tricheurs que les eurofricocrasseux d’Europe du nord, ce serait difficile.
    Et les dettes de guerre de l’Allemagne…il y a prescription, sans doute.
    Nulle part à ma connaissance il n’est fait état d’une relation entre la tragédie des Chrétiens d’Orient et les dispositions d’esprit des Grecs à l’égard de l’Europe et peut-être n’y a-t-il pas lieu de faire ce lien : quel rapport, en effet? Mais ces chrétiens d’Orient, massacrés dans l’indifférence générale ( voir le post récent du SB qui confirme le consensus européen sur ce point), ces chrétiens sont orthodoxes en très grand nombre, voire majoritairement.
    Comment perçoit-on en Grèce l’abandon délibéré, le cynisme, la lâcheté, la complicité objective de l’UE avec les terroristes? Une preuve de plus du peu de cas que font de ces malheureux une Europe vassale convertie aux “valeurs” de ses maitres (in Gold we trust)…le Veau d’or devenu Minotaure…

  19. le non est passé !!
    que faire maintenant, ben on renégocie
    ha d’accord
    quelle blague

  20. Entendu ce matin à la radio : “l’ampleur du Non a surpris François Hollande”.
    Je rêve.

  21. @Cosaque,
    Je ne cite pas la France en exemple. Nous sommes certes mal placés pour donner des leçons de bonne gestion de l’argent et c’est d’ailleurs pour cela que personne ne les donne à la tête de l’Etat, préférant toujours plus de négociation avec la Grèce. Si on peut même annuler sa dette ce serait merveilleux pour nos dirigeants qui espèrent qu’on aura la même clémence avec nous lorsque ce qui se passe en Grèce actuellement se passera chez nous.
    En revanche, les pays les plus sérieux d’Europe (Allemagne, pays lettons, pays du Nord), qui eux sont plus exemplaires que nous, en ont assez de supporter l’incurie grecque. Ils ont certainement des raisons.
    La Grèce n’a peut-être pas d’excédent primaire. Toutefois, sa dette actuelle montre bien qu’elle a dû l’être pendant trop longtemps. Et que faites-vous des milliards déboursés par la France lors des divers plans d’aide à la Grèce (11,4 milliards d’euros de prêts directs à la Grèce et 32 milliards d’euros via le FESF)? Vous me direz qu’on n’est pas à cela près compte-tenu du niveau de notre dette. Nous avons certes également des créanciers mais les banques nous prêtant encore, nous n’avons pas fait appel aux autres pays. Les pays de l’UE n’ont pas débloqué de fonds de solidarité envers nous. De plus, le problème n’est pas d’emprunter en soi mais d’emprunter sans jamais compter rembourser. C’est le cas de la Grèce aujourd’hui, ce sera certainement le nôtre rapidement.
    Si vos dires sont vrais au sujet de l’Islande, la Grèce aurait également besoin de se débarrasser des banquiers et politiques malhonnêtes. En a-t-elle seulement envie dans la mesure où malhonnêteté et corruption sont inhérentes à la culture de ce pays?

  22. résultat normal : hollande avait souhaité le OUI!!
    Quant à moi: est-ce un bien , est-ce un mal ? Dieu reconnaîtra les siens !

  23. @Patriote
    « Yannis Varoufakis , le célèbre ministre rock’n’roll de l’Économie grec (ou le ministre de l’économie rock’n’roll grecque, c’est selon) vient de déclarer : “C’est un oui à l’Europe” »
    réponse logique : si Yannis Varoufakis a démissionné aujourd hui alors même que son parti gagne avec un score écrasant son pari contre l euro dictature c est qu en fait il était un instrument de l euro dictature a l intérieur du gouvernement grec
    prenez garde car il en est de meme au FN de toute évidence , les taupes et autres sous marins sont infiltrés partout par l euro dictature

  24. C’est le moment pour la pléthore de chefs d’Etat de remettre sur le tapis toutes les lois européennes et aux députés européens de se mettre au enfin au travail!
    Comment garder ces règlements absurdes qui donnent autant de pouvoir à un pays minuscule qu’à un pays qui a 100 fois plus de population?
    C’est le moment d’harmoniser les lois sociales,financières,de défense, les impôts etc…
    Les députés, au lieu d’émarger chaque matin et de dégager ensuite, feraient mieux de travailler à une Europe digne de ce nom plutôt que se complaire dans un brouillamini de textes inapplicables.
    C’est peut-être dur mais il faut parfois oser dire la VERITE !
    BOUGEZ-VOUS!

  25. Si l’ampleur du non a surpris notre benêt de Président ,c’est qu’il sortait de chez sa Julie donc il n’avait rien suivi,d’ou sa surprise!
    Tout s’explique!

  26. Erratum: dans mon commentaire précédent, j’ai commis un lapsus. Il fallait lire: La Grèce n’a peut-être pas de déficit public si l’on ne compte pas le poids des intérêts de la dette. Toutefois, sa dette actuelle montre bien qu’elle a dû avoir de sérieux déficits pendant trop longtemps.

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