Aymeric Patricot, auteur de l'ouvrage Les Petits Blancs (Plein Jour), déclare au Figaro :
"J'explique, et en cela je m'inspire de travaux de nombreux sociologues, que depuis le milieu des années 2000 une «question raciale» s'est ajoutée à la «question sociale». En d'autres termes, on ne peut plus se contenter d'analyser les rapports dans ce pays en termes de richesses relatives, de pouvoirs d'achat, de relégation sociale… Les émeutes, la question de la discrimination positive, les tensions autour de la question du voile, les luttes antiracistes, autant de symptômes d'un retour en force des questions ethniques. Non pas que les secondes se substituent aux premières, mais elles viennent s'y ajouter, compliquer le jeu. Certains voudraient qu'au nom de la «République universelle» on taise délibérément ces tensions. Je ne pense pas que ce soit une solution – en tout cas, plus maintenant. Une société multiraciale, pour être viable, doit se confronter à la question des regards croisés entre communautés. De toute façon, a-t-elle vraiment le choix ?
Que signifie le terme «white trash» que vous utilisez à plusieurs reprises ?
«White Trash» est un terme américain désignant les Blancs si pauvres qu'ils se sentent à la fois méprisés par les minorités ethniques – en l'occurrence, les Noirs – et par l'establishment blanc. Il pourrait être traduit par «déchet blanc», ou «raclure blanche». C'est un terme extrêmement insultant, mais qui peut être revendiqué dans un deuxième temps par ceux qui le subissent – comme le fait Eminem dans nombre de ses chansons.
L'angoisse que ressent le White Trash, c'est celle d'être pris entre deux feux: les anciens esclaves se font un malin plaisir de lui cracher dessus parce qu'il représente, par sa couleur de peau, l'ancien maître ; et les bourgeois blancs le méprisent pour son comportement, sa saleté. D'une certaine manière, on considère qu'il a déchu de sa position de Blanc… La question, c'est de savoir s'il est possible ou non de parler de «white trash» à la française.
Le racisme anti-Blanc existetait donc selon vous ?
Ce n'est pas quelque chose dont je parle beaucoup dans mon livre. Cependant, pour répondre à votre question, les débats actuels sur la question pointent l'idée que le «racisme anti-Blanc» serait moins grave que d'autres parce qu'il répondrait à un premier racisme subi, et qu'il serait ainsi moins significatif. Je ne sais pas s'il faut vraiment raisonner de cette manière, en hiérarchisant les racismes par cette sorte de prééminence historique. En tout cas, je mets en relief une autre forme de mépris: pas celui qui s'exerce dans la rue, mais celui qui s'exerce dans les élites. Car la fracture qui existe désormais entre la bourgeoisie blanche et «petits Blancs» est désormais si profonde qu'elle relève, à bien des égards, d'une différence raciale: certains membres autoproclamés de l'élite n'hésitent pas à voir dans les plus pauvres des gens dégénérés, pour lesquels on ne pourrait plus rien. C'est ce racisme-là dont je parle surtout.
Les associations antiracistes entretiennent-elles un conflit entre les Français?
Le raisonnement des associations antiracistes est le même depuis trente ans: les discriminations sont le fait des Blancs. Le prétendu «racisme anti-Blancs» serait une notion forgée par le Front national, qui plus est très peu significative sur le terrain. Il est vrai que nous manquons de statistiques. Mais au-delà de la question des chiffres, je pense que nous avons changé d'époque. Depuis le début des années 80 et la création de SOS Racisme, les temps ont changé. Les minorités ne sont plus si minoritaires. Les violences, les discriminations ont évolué. Les ratonnades anti-maghrébines, par exemple, ont disparu, ce qui est très bien. Mais il faut précisément prendre acte de ces progrès et rester attentif aux nouvelles formes de tensions. La politique de ces associations, pour la plupart, était de sceller une alliance entre les différentes composantes minoritaires françaises contre une majorité perçue comme blanche et catholique. Je ne suis pas sûr que dresser cette barrière-là, de manière aussi tranchée, soit de nature à apaiser le débat aujourd'hui. […]
Les «petits Blancs» se sentent-ils abandonnés par l'État ?
Il serait sans doute possible de marquer quelques dates-clés dans ce processus: le «tournant sociétal» du PS dans les années 80, le portant à se désintéresser en partie des questions sociales pour privilégier la question des minorités ethniques et sexuelles […] ; l'aveu d'impuissance face au chômage, proféré par Mitterrand ; l'exhortation par le think tank Terra Nova, adressé au PS, à laisser de côté les ouvriers parce que moins significatifs, d'un point de vue démographique – et politique.
Autant d'éléments qui contribuent à forger la prise de conscience d'une classe pauvre et blanche, blanche parce «n'appartenant pas aux publics qui intéressent la classe politique». De même que le Noir était auparavant le Non-Blanc, le Blanc est aujourd'hui le «non-minoritaire»."
jejomau
Tout ceci est vrai . Les Blancs sont “chassés”. Voir ce reportage de 66 minutes par exemple sur l’Afrique du Sud :
http://www.youtube.com/watch?v=QkMrz2eWHpg&hd=1
On commence à connaître le même phénomène en France depuis la discrimination positive introduite par Sarkozy et le plafond de verre mis en place par les socialos qui ne font accéder aux postes de responsabilités que les LGBT OU tous ceux qui ne sont pas “de souche”….
c
Il n’y a qu’à voir la composition du gouvernement!
Quant au terme de bourgeoisie dont parle l’auteur, c’est la haute bourgeoisie, parce que la classe moyenne issue de la paysannerie de l’Ancien Régime et qui s’était hissé à un meilleur rang social grâce à son travail acharné et l’accès par l’école à des postes plus administratives, elle a été laminée, dans l’indifférence et pire le mépris du parisianisme et des bobos version NKM et cie, par exemple, mais c’est la même chose côté PS.
Ajoutons l’école en faillite qui n’est plus un moteur de promotion sociale, la déindustrialisation, le chômage, le travail au noir ou avec des contrats de droit étranger, et la discrimination positive, tout a été fait contre le peuple de France.
Il suffit d’ouvrir les yeux autour de soi.
Le “petit blanc” il est partout…
DUPORT
Les minorités ne sont en effet plus du tout minoritaires et son même en train de devenir majoritaire…
Robert Marchenoir
En fait, l’expression “white trash” n’est pas “extrêmement insultante”.
Tout d’abord, parce qu’elle n’est pas utilisée comme une insulte. Quand un Noir américain veut adresser une insulte raciale à un Blanc, il le traite de “cracker”, pas de “white trash”.
“White trash” est une expression descriptive, une expression de sociologue, professionnel ou improvisé. Certes, littéralement, ce n’est pas une appellation très flatteuse, puisque “trash”, ce sont les ordures. Mais ce n’est pas insultant, c’est méprisant. Nuance.
La traduction exacte de “white trash” (c’est à dire pas littérale) est, effectivement, “petit Blanc”. Expression que les hommes politiques et les “intellectuels” de gauche français, comme le communiste Mélenchon, emploient à tout bout de champ. Mais eux ne sont pas racistes, n’est-ce pas ? Mépriser les Blancs, ce n’est pas du racisme. Les Blancs sont un gibier légitime.
lève-toi
Les petits blancs ont oublié Dieu, alors Il les oublie jusqu’à ce qu’ils se souviennent de Lui.
DANS LA DOULEUR.
La Salette : – alors suite aux prières et aux larmes des Bons, mon Fils enverra ses anges mettre à mort TOUS LES HOMMES adonnés au mal, et la terre sera comme un désert ( càd , calme enfin)
On retrouve les Evangiles : ‘ Ces jours seront abrégés en faveur des élus –
Magikbus
Pour comprendre à quoi aboutit logiquement le reel racisme anti-blanc génocidaire aujourd’hui , l’exemple type se situe en afrique du sud où des milliers de blancs boers sont torturés, assassinés, violés , et des milliers d’autres blancs sont persécutés à morts dans les prisons ,sans que cela émeuve le moins du monde une quelconque officine antiraciste de pacotille !
L’hebdo Rivarol explique clairement la situation et nul doute que si nous laissons faire ,ca finira comme ca aussi en France fatalement …..
C’est pourquoi il faut informer les notres de ce très reel danger …..
amiral
Lève-toi cela rejoins Saint Nylus et bien d’autres âmes bénies ,confions nos vies a Jésus et Marie et gardons confiance.