C'est ce qu'a déclaré Manuel Valls :
«Les salafistes doivent représenter aujourd'hui 1% des musulmans dans notre pays, mais leur message, leurs messages sur les réseaux sociaux sont les seuls qu'on entend et qui se font entendre des plus jeunes». «Il y a une forme de minorité agissante, des groupes (salafistes), qui sont en train de gagner la bataille idéologique et culturelle».
Regrettant que la quasi-totalité des attentats de ces dernières années se fassent «au nom de l'islam», Manuel Valls a estimé que «le débat ne (devait) pas seulement se faire entre l'islam et la société, mais bien au sein même de l'islam».
1% de 4 à 6 millions de musulmans (5 millions fin 2014 selon Michèle Tribalat), cela nous fait entre 40 et 60 000 salafistes…
Manuel Valls a ajouté :
«La France a besoin de transcendance et d'un idéal à proposer, car les raisons pour lesquelles les gens choisissent le totalitarisme ne sont pas forcément liées à la misère, l'exclusion ou le manque de considération».
Sic : ce n'est pas en niant l'identité chrétienne de la France que nos dirigeants y parviendront.