Valeurs actuelles a pu consulter le rapport de police sur les violences commises par des gauchistes à Rennes récemment, informations que le ministère de l’intérieur et certains médias ont voulu cacher. Extrait :
« vers 18h30, 400 personnes d’extrême-gauche se rassemblaient (…) pour dénoncer la tenue de cet événement du « Rassemblement bleu marine » (…) à 19h50, (…) ils cassaient des vitrines (5 commerces et 4 établissements bancaires) et poursuivaient leurs exactions (…) où ils tentaient d’incendier un bureau de police en brisant plusieurs vitres et en y jetant un fumigène qui mettait le feu à un fauteuil (…) ». Le document rapporte ensuite qu’« un véhicule était incendié».
La réponse policière est décrite à l’image de la situation d’urgence : « au cours des heurts, les forces de l’ordre faisaient usage d’un canon à eau, de grenades lacrymogènes et du flash-ball (…) pour repousser les assaillants. Quatre policiers et un gendarme étaient blessés par des jets de projectile. Au plus fort des événements, 630 manifestants étaient réunis ».
Toutes les personnes interpellées ont été laissés libres sans aucune suite judiciaire. Le préfet de Bretagne, Patrick Strzoda, a passé sous silence les policiers blessés. Sur ordre de Valls ?