La première aurait sans doute fait le jeu de l'extrême-droite (via) :
Les Unes de Libération
7 commentaires
Publier une réponse
Vous devez avoir un compte pour publier un commentaire
La première aurait sans doute fait le jeu de l'extrême-droite (via) :
Vous devez avoir un compte pour publier un commentaire
Lorsque vous visitez un site Web, il peut stocker ou récupérer des informations sur votre navigateur, principalement sous la forme de cookies. Contrôlez vos services de cookies personnels ici.
fi
Il s’agit d’un Califat. Qui sont les sales français? les sans-morales?
Dragases
Avec internet, et des sites comme notre excellent Salon Beige,les masques tombent vite.Tout est archivé,tout ressort,la vérité sort victorieuse à chaque fois.Nos compatriotes ouvrent leurs yeux!
Les “archéo-politiques”hélas ne l’ont pas compris encore.
Blabla
Notons qu’en ce moment nos médias de propagande substituent l’acronyme “Daesch”, politiquement correct car incompréhensible, à l’expression “État islamique”.
Il s’agit tout simplement que nos oreilles n’associent plus le nom de cette RATP (“religion d’amour, de tolérance et de paix”) aux exactions en tous genres (meurtres, enlèvements, viols, profanations des cadavres) commis sur leurs victimes.
Au contraire, continuons à appeler ces égorgeurs par le nom d’ “État islamique” qu’ils se sont donnés surtout qu’en arabe “Daesch” est l’abréviation de “Dawlat islamiya fi ‘iraq wa sham”, c’est-à-dire “l’État Islamique en Irak et au levant”. On a affaire à des tartuffes. Comment peut-on penser que ces tartuffes mettent un terme aux agissements de cet “État islamique” ?
blibli
A Blabla
un bon article sur la voie de la russie :Plainte contre Fabius.
Kazar
Les USA refusent d’utiliser un nom arabe, Da’esch, et ils ont bien raison. Il s’agit de l’état islamique, et dans cette expression, il y a islam, point final.
n
Le premier titre comprenait surtout une erreur grossière. Etant donné que le racisme anti blancs est une invention du FN à des fins électoralistes, cette phase n’a pas pu être prononcée. D’où la correction bien vue de la rédaction de Libération, dans un soucis de vérité.
Marino
Les Médias ont détaillé le message :
“Si vous pouvez tuer un incroyant américain ou européen – en particulier les méchants et sales Français – ou un Australien ou un Canadien, ou tout (…) citoyen des pays qui sont entrés dans une coalition contre l’État islamique, alors comptez sur Allah et tuez-le de n’importe quelle manière”, a déclaré Abou Mohammed al-Adnani, le porte-parole de l’EI, dans un message publié en plusieurs langues. Et d’ajouter : “Tuez le mécréant qu’il soit civil ou militaire”.
La déontologie du journalisme
. Le respect de la personne peut par exemple conduire à s’abstenir de prendre une photographie ou écrire un article, même quand le droit le tolère
Fallait-il diffuser cette info en “détail” ?