Les victimes du divorce
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Jacques
et on ne le dira jamais assez: le divorce est toujours un drame pour les enfants, qui en sont les victimes innocentes. il est très difficile pour les praticiens de concilier tous ses facteurs là.
Il y a effectivement les cas extrêmes de divorces causés par la violence de l’un ou l’autre dans le couple, et dans ce cas cel peu présenter une petite amélioration pour les enfants.
Mais dans le reste des cas c’est toujours un échec. Et sans vouloir fairede la psychologie de café, je me suis toujours demandé comment ont peu parvenir à expliquer à un enfant en bas âge: maman t’aime, papa t’aime mais papa et maman ne s’aime plus et ne peuvent plus vivre ensemble?
Et l’on constate que dans 99% des cas ce sont des divorces de “confort”, de gens qui n’acceptent aucune difficultés. c’est là encore la manifestation de l’un des nerfs de la culture de mort: l’égoïsme, que l’on retrouve dans l’IVG, l’euthanasie mais aussi dans toute la propagande homophile, dans la libération sexuelle. Tout cela se tient, et se résume en une phrase:je recherche mon “bonheur” personnel quelle qu’en puisse êtres les conséqunces pour mes proches. Bonheur bien éphémère et surtout qui débouche sur la déprime, la solitude et l’absence totale d’espérance…
O Rei Sebastiao
Le divorce est calamiteux
Quand on se marie, ne l’oublions pas, c’est
“pour le meilleur et pour le pire”
le divorce devrait être interdit
tonio
la génération 68 nous laisse là un bel héritage… On en voit déjà les dramatiques conséquences éducatives.