La Conférence des évêques italiens a condamné l’appel d’Amnesty International à dépénaliser l’avortement en cas de viol :
"Ce sont des dérives qui nous alertent un peu plus encore sur l’effritement dangereux auquel sont soumises les consciences humaines, et sur la nécessité d’une présence qualifiée pour combattre de tels résultats".
Mgr Bagnasco a regretté
"les situations et comportements socialement déplorables, voire criminels, que l’on n’arrive pas à résoudre : nous pensons par exemple aux drames récents et croissants des incendies de forêts causés par l’homme et qui cet été ont mis à genoux d’importantes parties du pays. Devant de tels faits, mais aussi devant d’autres dérives comportementales, il semble que le lien social devienne sans cesse plus friable. La solidarité sur laquelle une communauté structurée doit s’appuyer, se tarit".
Les évêques italiens réaffirment aussi "les principes fondamentaux" pour la société que sont "la famille fondée sur le mariage" et "la valeur intangible de la vie dont on doit prendre soin depuis sa source et jusqu’à sa fin naturelle".