Dans une allée boisée de Berlin, on peut trouver une « boîte à bébés », ultime recours pour de jeunes mères en détresse qui peuvent y déposer leur nouveau-né dans l’anonymat absolu. Encastré dans un mur de l’hôpital Saint-Joseph, on voit un rectangle de métal poli muni d’une poignée. Dedans, un minuscule lit à la couette fleurie et une lettre sous enveloppe, libellée «à emporter», en allemand, turc, polonais et russe.
«Le message indique aux jeunes mères désespérées quel sort attend leurs enfants et comment faire pour les reprendre si elles changent d’avis», explique soeur Chiara, de la direction de l’hôpital. Une caméra est branchée sur le petit habitacle, de manière à ne filmer que l’enfant «sans identifier la personne qui le dépose». Au bout d’une minute, de quoi permettre un départ discret, une sonnerie retentit dans la maternité pour alerter le personnel de la présence du bébé. Les naissances sont signalées à l’état civil et aux administrations responsables des adoptions. La mère a huit semaines pour revenir sur sa décision, voire jusqu’à un an pour faire valoir ses droits.
L’abandon d’enfant n’est pas le propre des temps modernes. «Songez à Moïse», sourit la religieuse de la Congrégation des soeurs de Sainte-Elisabeth. La «boîte à bébés» non plus : un tourniquet tout à fait comparable avait été créé par le pape Innocent III, au XIIe siècle. Le principe était le même pour le «tour» instauré par saint Vincent-de-Paul.
L’Allemagne a réintroduit le mécanisme en avril 2000, à la suite de la découverte d’un cadavre de bébé dans une benne à ordures. Depuis, il en existe plus de 80 à travers le pays.
Goulven
Ce pourrait être une excellente idée pour les maternités catholiques… A quand une telle initiative?
Hérisson
Tout à fait : voilà une intelligente démarche pro-vie à faire connaitre et à propager pour sauver les vies de nos tous petits et aider les mères en difficultés
Eric GAILLOT
L’aspect musulman de l’affaire ne vous a pas alerté, semble-t-il. Auto-censure ? Pourtant, qui sont ces femmes qui déposent ainsi leur bébé dans la boîte ? « […]Il s’agit de jeunes femmes souvent d’origine étrangère, qui ne sont pas en mesure de procéder à une interruption volontaire de grossesse parce qu’elles ne peuvent pas aller voir un médecin. Des illégales, des victimes de réseaux de prostitution forcée, ou tout simplement des filles grandies dans un milieu musulman où leur écart peut leur valoir le déshonneur, voire la mort. » Source : Le Figaro.
Goulven
> E. Gaillot
Une vie est une vie, même d’origine étrangère
Hérisson
@ Eric Gaillot
Et alors ?
Nous en ferons de bons chrétiens
Les enfants sont notre richesse
Les enfants appartiennent à Dieu, leur origine ne change rien à l’affaire…
Ces enfants sont nés de pauvres filles, eh alors ? La richesse est transitoire pour ceux qui n’en sont pas digne. Et vu le résultat de notre “élite” parisienne soit disant “bien-pensante” je préfère parier sur un orphelin abandonné…
Arrêtons le sketche, on s’en rend compte maintenant si l'”élite” catholique s’était vraiment battu il n’y aurait pas eu 6 millions de bébé immolé à Baal et la décadence serait terminé, alors si vous vous imaginez que vos enfants valent plus que ceux d’une prostituée maghrébine prouvez le ! Mais si ils ressemblent à cette masse ridicule de bellâtre et de nobliaux qui n’ont rien d’une aristocratie et que l’on retrouve à l’electrachic : Je vous le dis c’est pas gagné pour vous.
RC
Pour compléter Hérisson, j’irai même plus loin : tant mieux si ce sont des enfants d’immigrées musulmanes dans la misère ! Non seulement on leur permet d’échapper à la misère de cette vie, mais surtout, on leur ouvre les portes du Salut éternel dans l’autre. C’est là une réalité essentielle à côté de quoi aucune réalité politique ne vaut.
Eric GAILLOT
A tous mes détracteurs : je faisais seulement remarquer qu’une femme musulmane risque la mort pour enfanter et qu’en écrivant cet article, Le Figaro risque gros. […]
Hérisson
Vous me pardonnerez mais comme je suis d’une forme Bloyenne, permettez moi d’en rajouter sur la jeunesse catholique prétendument bien-pensante au joyeux uniforme du minet BCBG que je croise partout à Paris et qui n’est concrétement qu’un ramassis de médiocres qui se vautrent dans leur richesse et dont le nombrillisme n’a d’égal que la fatuité.
Leur prétendu attachement à la tradition n’est que le cache sexe d’un vide abyssal dont l’hypocrisie est totale, il n’y a qu’un honneur : celui de servir, de mettre sa peau au bout de ses idées, que reste t’il de ce verni de respectabilité qui n’est qu’un plaquage, voir un bidouillage au bronze et qui n’a rien de l’or véritable.
Derrière la façade : une bande de petits nabots qui danse au son de “Hum you touch my trallala”, qui derrière la débauche du samedi, qui souvent dépasse dans l’orgie celle de ceux à qu’ils prétendent donner des leçons et dont ils n’auront même pas la repentance de Marie Magdeleine ou de l’enfant prodigue, ils iront à la messe très bien du curé tradi mais pas trop à la fin de laquelle l’aéropage pathétique des discussions mondaines et des toilettes arrogantes tient pour eux le seul intérêt réelle de la Messe et de Notre Seigneur Jesus Christ.
Qui d’entre eux s’est engagé chrétiennement en politique, le petit nombre ! et l’ignorance crasse de leur bêtise assumé se contente d’un demi-livre de la rue des Renaudes mal digéré mais vous comprennez il y avait à cette cellule la belle Marie-Lys de la Porte d’Entrée qui est quand même bien séduisante… Qui s’est formé à la théologie , à la philosophie et à la mystique catholique où globalement leur niveau se rapproche de celui d’un enfant de catéchisme de 7 ans avec cela de moins que l’enfant est curieux lui…
Qui s’est engagé dans le combat de la Vie concrétement dans l’aide aux enfants porteurs de handicaps, aux aides aux femmes seules, aux aides aux personnes agées, dans les visites aux hopitaux, dans le combat politique des associations catholique mais quand il s’agit d’aller regarder Blanche et France se trémousser sur le char de la life parade c’est plus sympa… sûr.
Qui a mis sa peau au bout de ses idées en suivant sa vocation où l’appelle du Seigneur aussi bien dans la vie religieuse ou sacerdotale que dans le devoir d’état du Laic chrétien qui est politique car la charité politique est des plus hautes.
Qui vraiment ?
Evidemment il y en a, mais c’est la petit nombre…
Qui parle de sa Foi au boulot à l’Ecole à l’Université, qui n’a pas honte de Notre Seigneur Jésus Christ ?
Vous seriez étonnés de savoir combien tous les hommes attendent la parole de Dieu, et autours de vous votre camarade de boulot est catholique, votre ami se pose des questions leur salut est de votre responsabilité : si il se damne vous serez damné avec lui.
Qui a la Foi ?
Si tu dis avoir la Foi sans les oeuvres : tu es un menteur.
Alors où est l’aristocratie ?
Je ne parle pas des nobliaux à la chevalière négligeament exposé et qui n’en sont que la caricature infiniment plus méprisable que l’arriviste qui au moins arrive à se rendre compte qu’il lui manque quelque chose…
L’Aristocratie se joue du nom et des richesse même si parfois l’heureuse conjonction des deux fait plaisir à voir…
Volkoff expose bien ce qu’il faut entendre par aristocratie dans son dernier livre… Je vous y renvoie.
Mais bon sang, il n’est d’honneur que de servir, et servir Dieu c’est règner.
Il serait temps que la jeunesse catholique ou plutôt qui se prétend tel sorte du sommeil car le bois mort on le brûle.