L’Union des organisations islamiques de France (UOIF), partie civile au procès des caricatures de Mahomet, a annoncé qu’elle allait faire appel de la relaxe prononcée par le tribunal correctionnel de Paris en faveur de Charlie Hebdo. Lhaj Thami Breze, président de l’UOIF, indique :
"Nous ne comprenons pas car le jugement dit à la fois que l’un des dessins est choquant mais que cela reste dans le cadre de la liberté d’expression".
En revanche, la Grande Mosquée de Paris (GMP) a indiqué qu’elle n’allait pas faire appel.
"C’est un jugement équilibré qui ménage à la fois le droit à la caricature et la possibilité pour un groupe de personnes de se plaindre".