1) En acceptant l’arbitraire de la subjectivité (homosexualité, PACS, etc. NDLR), le législateur favorise la désocialisation et dévalorise toutes les autres lois qui peuvent être de moins en moins respectées. (…)
2) Au nom de l’égalitarisme, la loi ne distingue plus entre l’essentiel et l’accidentel. Alors que les problèmes de nombreux jeunes révèlent de graves carences familiales, les élus sapent les fondements de la famille en légalisant tout ce qui existe. (…) La confusion première vient du manque de soutien de l’État à ce qui constitue réellement la famille issue de l’union d’un homme et d’une femme.
3) Le règne de Narcisse c’est aussi celui du transgresseur qui passe pour un héros et se trouve valorisé par les médias et encore davantage s’il utilise sa situation pour en appeler à réformer les lois de la société et les règles morales. (…) On crée une situation de fait pour ensuite demander sa légalisation (avortement, drogue, adoption par les couples homosexuels… NDLR). (…) Comment s’étonner que devant de telles mesures insidieuses, arbitraires et transgressives, des jeunes soient dans le mépris des lois ?
4) Le règne de Narcisse culmine enfin dans le négationnisme de la différence sexuelle et le révisionnisme des normes sexuelles de la société, qui fondent pourtant le lien social. (…) La plupart des enquêtes sur le «bien-être» des enfants vivant dans ces conditions (dans des couples homos, NDLR) sont limitées et faussées. Elles ne rendent pas compte des structures psychiques qui se mettent en place. (…) Les mots, les discours et les chiffres sont manipulés pour en appeler à «l’égalité» afin d’éviter la question de l’instrumentalisation des enfants qui servent d’étayage à ces adultes. (…)"
La société détruit la famille et s’étonne ensuite de rencontrer la violence.