Lors d’un entretien accordé au magazine catholique américain Inside the Vatican (et rapporté par Lifesite), le Cardinal Arinze, préfet de la Congrégation pour le Culte divin et la discipline des sacrements, s’est vu poser la question de l’accès à la communion des hommes politiques "pro-choix". Comparant leur position à celle de quelqu’un qui, à rebours, voterait pour l’assassinat des députés et appellerait cela être "pro-choix", il a répondu :
Vous me demandez alors, est-ce qu’il devrait se voir donner la communion. Ma réponse : "Est-ce que vous avez vraiment besoin d’un cardinal du Vatican pour répondre à cette question ?" Est-ce qu’un enfant qui a fait sa Première Communion ne peut pas y répondre ? Est-ce que c’est vraiment si compliqué ? L’enfant donnera immédiatement la réponse correcte, à moins qu’il soit conditionné par le politiquement correct. C’est malheureux, qu’il faille demander cela à des cardinaux.
Si quelqu’un a un mode de vie qui va à l’encontre des Commandements majeurs, et s’en vante, alors la personne est dans un état de péché public. C’est lui qui s’est disqualifié, pas le prêtre ou l’évêque. Il ne devrait pas communier, jusqu’à ce que sa vie soit en concordance avec l’Evangile.
Nemo
Et à la question “A quoi est-il préférable de renoncer ? A une communion et tout le dogme à respecter scrupuleusement qui s’ensuit, ou bien à une idée personelle et qui n’a que plus de valeur parce qu’elle ne répond qu’à une morale personelle mûrement réfléchie ?”, un enfant aussi pourrait répondre.
Négrin
Eglise catholique=2 poids et 2 mesures!
Elle dit exactement le contraire pour la Franc-Maçonnerie!Le dictat vient de Rome et non des fidèles!
Anonyme
c’est pas un mec fun le cardinal…