Les bébés avortés après 21 semaines et 6 jours de gestation devraient avoir le coeur arrêté par une injection de chlorure de potassium avant d’être expulsés. Mais en pratique, selon des enquêtes, peu de médecins souhaitent ou sont capables de pratiquer une opération aussi délicate. Pour l’avortement de foetus plus jeunes, c’est une injection de médicaments qui cause la mort. L’enquête recommande aux médecins de s’assurer que les médicaments qu’ils utilisent causent effectivement le décès des bébés.
En Angleterre, selon les enquêtes du CEMAH (Centre d’Enquêtes Confidentielles de Santé Maternelle et Infantile) et du Collège Royal des Obstétriciens et des Gynécologues, qui régule les méthodes d’avortement, des enfants survivent à l’avortement ! Selon Stuart Campbell, ex-professeur d’obstétrique et de gynécologie à l’hôpital St-Georges de Londres, "à 19 semaines de gestation, ils naissent en respirant et en pleurant. Je ne suis pas contre l’avortement, mais force est de constater que ce n’est plus de la médecine." Qu”est-ce donc alors ? De la criminalité ?…
Quand la vie est plus forte que la mort.