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Immigration

Les vraies leçons des drames des squats insalubres

Alors que les associations d’extrême-gauche cachent derrière une agitation médiatique indécente leur propre responsabilité dans l’occupation illégale d’immeubles insalubres, Nicolas Sarkozy a osé tirer les vraies leçons des drames de ces derniers jours :

"Il faut fermer tous ces squats et tous ces immeubles pour arrêter ces drames, et c’est ce que j’ai demandé au préfet de police parce que ce sont des êtres humains qui sont logés dans des conditions inacceptables."

Il a courageusement fait, comme le FN, le lien entre ces drames et l’immigration incontrôlée :

"A force d’accepter des gens malheureusement à qui on ne peut proposer ni travail ni logement, on se retrouve dans une situation où on a des drames comme ça."

C’est précisément dans ces termes que la doctrine de l’Eglise définit les justes limites que l’Etat est en droit de fixer à l’immigration.

"Il appartient aux pouvoirs publics, qui ont la charge du bien commun, de déterminer la proportion de réfugiés ou d’immigrés que leur pays peut accueillir compte tenu de ses possibilités d’emploi et de ses perspectives de développement mais aussi de l’urgence du besoin des autres peuples." (Commission Justice et Paix, 1989. Source)

A l’occasion de ce drame, des Français découvrent dans leur capitale des scènes de bidonville africain : une voisine témoigne que les squatteurs "vivaient dans des conditions effrayantes. D’extérieur, c’était très délabré, les femmes africaines venaient chercher de l’eau à la bouche d’égout."

Ce spectacle renvoie au phénomène de contagion de la pauvreté que décrivait déjà Jean-Paul II en 1991 (source):

"Certains phénomènes migratoires du Sud vers le Nord et de l’Est vers l’Ouest, non seulement ne résolvent pas les situations de pauvreté d’origine, mais risquent également de créer de nouveaux problèmes dans les nations d’immigration, de sorte que la carte géographique de la pauvreté, se recoupant avec celle des migrations, s’élargit de plus en plus."

Henri Védas

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