Communiqué de l'Agrif :
"Les medias répercutent aujourd’hui des statistiques sur les délits anti-musulmans et antisémites. Mais rien sur les actes anti-chrétiens pourtant en augmentation exponentielle.
Tout cela est pipé. D’une part on recense systématiquement au nombre des délits anti-musulmans ou antisémites tous les propos, spectacles et écrits souvent en effet susceptibles d’offenser la sensibilité des musulmans ou des juifs. En revanche, les spectacles les plus abominablement anti-chrétiens dans un flux ininterrompu d’obscénités blasphématoires, malgré leur charge de haine sont considérés comme relevant de la liberté imprescriptible de dérision, le droit au blasphème étant désormais présenté comme un des fondements de la laïcité. Peu importe ce que peuvent éprouver les chrétiens dont on ne cesse pourtant de persécuter ou martyriser ou exterminer tant de leurs frères en des terres dites d’islam.
On peut donc comme à Bordeaux, une fois encore organiser une exposition ignoblement anti-chrétienne. Celle qui est en cours s’appelle « je vous souhaite d’être follement aimé ». L’AGRIF ne poursuit pas. Sûre hélas d’être coûteusement déboutée par une triste « justice ». Son président tient du moins à exprimer son plus total mépris pour les 16 soi-disant artistes, pauvres débiles obsédés, vautrés dans le glauque conformisme anti-chrétien le plus baveux.
L’AGRIF observe combien le respect de la dignité de la personne humaine, que la loi devrait protéger, est bafouée en de pareils spectacles. Elle est évidemment attentive à relever tout acte d’indéniable violence directe contre les Français parce qu’ils sont Français, quelle que soit leur race et leur religion et contre les chrétiens quelle que soit leur origine ou Église parce qu’ils sont chrétiens. Dans ces cas, bien sûr, elle intentera les procédures qui s’imposent. L’AGRIF travaille aussi avec ses milliers d’adhérents pour que vienne un changement politique, médiatique et culturel, pour le respect du christianisme et des chrétiens à l’égal des autres citoyens."