Le 18 novembre aura lieu le 3e Forum de la dissidence de Polémia sur le thème : « Face à Macron, pour une bonne droite ». Jean-Yves Le Gallou présente à Boulevard Voltaire cet évènement :
"Pourquoi ce nouvel événement ?
Pour combattre le Grand Dérangement !
Qu’entendez-vous vous par là ?
Les délires idéologiques qui nous sont imposés par les juges, les pédagomanes, les lobbies féministes et antiracistes, les médias et bien sûr les politiques, de toutes tendances, à la remorque de tout ce petit monde.
A quoi pensez-vous en particulier ?
À la théorie du genre ou à « l’écriture inclusive ». Aux revendications communautaires poussant à débaptiser les noms de rue ou d’établissements publics. Aux fumisteries – plus ou moins pornographiques – de l’art dit « contemporain » (pour mémoire né en 1917 !) qu’on impose dans les hauts lieux de notre mémoire. Ce sont aussi les enfants sans père avec l’extension de la PMA aux couples de « lesbiennes » et bientôt la GPA pour tous, bref la marchandisation de la vie. C’est aussi la répartition des étrangers clandestins sur tout le territoire. Et les vrais-faux mineurs étrangers isolés (MIE) à 50 000 € de coût annuel pour le contribuable. Sans parler des folies judiciaires bien sûr !
Remettez-vous en cause l’état de droit?
L’état de droit, c’est une blague: c’est le cache-sexe de la dictature des juges qui interprètent à leur manière des principes généraux. Pour le Conseil d’Etat, une crèche dans une mairie ou une croix sur une statue de Jean-Paul 2, c’est contraire au principe de laïcité. En revanche pas de problème pour le halal dans les cantines scolaires et les abattages sauvages de l’Aïd el Kebir. Quant au port du burkini sur les plages c’est une liberté publique à laquelle les maires ne doivent pas porter atteinte! Ces gens là sont délirants. En revanche pas de liberté d’expression pour Zemmour, Cassen, Menard ou Camus.
Pourtant les cibles du Forum de la Dissidence, ce ne sont pas les juges, ce sont les politiques.
Oui, parce que les politiques de droite ou réputés tels sont aux abonnés absents. Ils n’osent pas livrer de combats idéologiques par peur de prendre des coups. Ils sont soumis à ce que Marcel Gauchet appelle le Parti des médias. […]
La meilleure manière de combattre la diabolisation c’est tout simplement de l’ignorer ! Vous connaissez la formule : « La bave du crapaud n’atteint pas la blanche colombe ». Il faut s’y conformer, non ramper devant les crapauds ! C’est la première étape pour préparer la révolution dont la France a besoin. […]"
sanzanicroche
Eh oui comme le dit si bien un proverbe d’avocat : « a force de faire du droit on fait de l’injustice » dont acte, c’est d’autant a vomir qui plus est dans un régime dictatorial socialo communiste qui se pare des atours frelatés de la bien pensance du « social » du « populaire » et de la justice tout court . il faut relire TARTUFFE pour voir que rien n’a changé depuis louis 14.