Dans L’Homme Nouveau, Adélaïde Pouchol dénonce la loi prohibant la fessée :
Maintenant que « l’autorité parentale s’exerce sans violences physiques ou psychologiques », les enfants passent certainement de très bonnes vacances, prémunis des« violences éducatives ordinaires » interdites par la loi depuis le 2 juillet dernier. On connaît la ritournelle par cœur parce que le débat n’est pas nouveau : il s’agit, nous disent les opposants à la fessée, de protéger les enfants de la mort ou de graves séquelles psychologiques, attendu qu’un enfant meurt tous les cinq jours sous les coups de ses parents. Coups, gifles et fessées mais également humiliations ou insultes sont désormais prohibés. L’article de loi en question sera même lu lors des mariages et inscrit sur le carnet de santé des enfants. Dire que cette loi est une attaque en règle contre la liberté éducative et qu’elle vient contraindre, encore un peu, l’intimité familiale, est immédiatement compris comme l’expression d’une envie de pouvoir « tabasser » ses enfants à loisir quand elle est seulement le rappel salutaire de ce que les parents sont premiers éducateurs de leurs enfants et juges de ce qui est bon ou mauvais pour eux. Et laisser libre de bien faire, c’est vrai, c’est prendre le risque que certains fassent le mal.
Alors face à ces tyrans qui veulent me dire comment éduquer mes enfants, alors qu’ils ne sont pas capables de faire régner l’ordre et la sécurité en France, dans les écoles, les hôpitaux, les rues…, je revendique le droit d’administrer une fessée à mes enfants. En attendant de mettre une fessée électorale à ces coquins qui nous gouvernent et qui n’ont sans doute pas reçus dans leur enfance la correction qu’ils méritaient.
DUPORT
Il suffit de regarder Hollande ou Macron pour voir ce que deviennent les sales gosses mal élevés ou pas élevés du tout.
philippe paternot
lorsque l’état se mêle de tout, y compris de la famille, on comprend que l’on est dans un état totalitaire!
Collapsus
On interdit de corriger un enfant mais on autorise sans état d’âme de l’assassiner dans le ventre de sa mère. Inversion des valeurs chrétiennes que nous annoncent les Écritures.
balaninu20
Mais savez-vous que nos “gouvernants” ne sont que des hommes de paille dans les mains de la FM ?
sivolc
Oui, Collapsus, et on assassine un jeune homme innocent mais handicapé, après l’avoir maltraité pendant 10 ans en le maintenant dans un service hospitalier dit de “soins palliatifs” où la durée moyenne de séjour d’un patient n’est que de quelques semaines, en refusant systématiquement de la transférer dans des établissements spécialisés prêts à l’accueillir et à lui donner les soins appropriés que réclame son état. Ce gouvernement se fout de notre gueule, sinistrement! Vive la fessée.