Vous pouvez lire dans le Journal Officiel le décret n° 2014-32 du 14 janvier 2014 relatif aux diagnostics anténataux.
"Le présent décret tire les conséquences de ces dispositions. Il définit l'échographie obstétricale et fœtale, met à jour la liste des examens de biologie médicale et d'imagerie appartenant aux explorations pratiquées pendant la grossesse, décrit plus précisément les modalités d'information et de consentement de la femme enceinte et précise la nature des règles de bonnes pratiques qui devront être établies. Enfin, il complète la composition des équipes pluridisciplinaires qui se prononcent sur l'interruption de grossesse au motif que la poursuite de la grossesse met en péril grave la santé de la femme."
Comment ? Ce n'est pas un droit ? Il faut justifier d'un péril grave pour commettre l'avortement ? Ah oui mais c'est pour avorter après le délai légal. Le PS a encore du boulot…
cad
sondage du journal médical “le généraliste” 80 °/° de médecins contre la suppression de la notion de détresse.
Sopotec
D’ailleurs, que se passe-t-il au bout du délai de 12 semaines de grossesse, entre 11 h 59 et minuit 1 mn pour que le foetus ne deviennent plus légalement “avortable” ?
Le foetus est tout d’un coup devenu un être humain par décret ? (sauf handicap auquel cas il reste foetus, on l’aura bien compris…)
C.B.
Cette suppression de la classe de détresse va-t-elle être contestée devant le Conseil d’État?
même si ce n’est qu’un combat symbolique…
T.C.
Afin que tout le monde comprenne bien, en cas d’intervention médicale de grossesse, il n’y a pas de délai légal: Il est possible d’avorter jusqu’à la veille de l’accouchement.
Et ça ne date pas de ce gouvernement!! Ouvrons les yeux, ce que la gauche fait aujourd’hui ce n’est que récolter les fruits de ce que d’autres ont semé auparavent!
Pilou
Les socialistes croient à la descente d’une âme dans le foetus et qui fait de lui un être humain du jour au lendemain.
DUPORT
“…met en péril grave la santé de la femme”
Ce sont des mots, rien de plus, dans la réalité un enfant ne met jamais en péril la vie de sa mère.
Si effectivement le cas pouvait se produire que la femme soit si faible que la poursuite de la grossesse mette sa vie en danger, est ce que cette même femme est en état d’avorter ou de subir une césarienne sans mettre sa vie en péril ?
Au demeurant, la nature étant bien faite, un problème de santé important de la mère provoque généralement l’interruption naturelle.