Sous prétexte d’éviter une guerre commerciale, la présidente de la Commission Von der Leyen a capitulé face à Donald Trump et accepté :
- Des droits de douane (jusqu’à 50 % sur l’acier et l’aluminium, 15 % sur l’essentiel des exportations européennes) sans contrepartie
- Des engagements considérables d’achats d’énergie, d’investissements et de matériel de défense aux États-Unis.
À écouter absolument. À la question « Quelles concessions ont fait les USA ? », von der Leyen répond en substance : « Aucune. Il est normal de faire ce deal car l’Europe est en excédent par rapport aux USA, donc il faut rééquilibrer cette inégalité. » Mais pour qui roule Mme von… pic.twitter.com/zm6wjyOkSh
— Rafik Smati (@RafikSmati) July 28, 2025
La France a même trouvé un nouveau Daladier :
La protection des intérêts européens a été la seule boussole de @vonderleyen dans les négociations avec les États-Unis.
L’accord 🇪🇺🇺🇸 permet d’éviter une guerre commerciale, dont les conséquences économiques auraient été désastreuses.
— Stéphane Séjourné (@steph_sejourne) July 28, 2025
Souvenez-vous de cette vidéo de propagande européiste :
Spot TV de 1987 pour nous vendre l’Europe qui protège dans la mondialisation. On mérite tellement notre sortie de l’Histoire pic.twitter.com/Z5V0rpyN5J
— Johann Margulies (@MarguliesJohann) July 28, 2025
Les députés qui avaient refusé de voter la censure récemment auront-ils l’outrecuidance de critiquer cet accord ?…
Garde67
Les rapports entre pays ne sont plus que des accords commerciaux. Des deux côtes de l’Atlantique, ce ne sont plus des pouvoirs politiques, au vrai sens du terme, qui passent et repassent des accords, mais des administrations placées sous le contrôle des grands groupes industriels, commerciaux ou/et financiers. À ce jeu-là, c’est celui qui détient le plus de moyens financiers qui l’emporte.
Avec notre dette colossale, détenue en grande partie par les fonds de pensions américains… qui financent la mondialisation, nous ne pouvons pas gagner la guerre commerciale. L’endettement nous coute notre liberté et notre souveraineté. Nous nous sommes pris à notre propre piège libéral-libertaire. La disparition programmée de nos fleurons industriels, informatique, mais aussi nucléaire nous rend dépendant et esclaves du bon vouloir de pays qui se sont industrialisés et qui, dès lors, détiennent le pouvoir économique.
La réindustrialisation, mais pas n’importe laquelle, est une nécessité. Mais elle se heurte au refus de la gauche extrémiste et des écologistes obnubilés par l’écologie.
La liberté, qui est un don fait à l’homme, l’oblige à la conserver et à la faire vivre. Cela requiert quelques efforts. Sommes-nous prêts, Français, à y consentir pour reprendre notre souveraineté ?
Meunier
Vous remarquerez la poignée de mains particulière. …
Giacomo
Je crois pas que Trump soit FM, Ursula fort probablement
Collapsus
À croire qu’elle en aurait croqué comme pour les pseudo-vaccins contre le covid.
Pitoune
Les commissions de Pfizer n’étaient peut-être pas suffisantes.