Sous la pression des internautes, le site Internet de l'hebdomadaire a fini par changer la première illustration de son article "Canicule : des bouches d'incendie utilisées pour se rafraichir en pleine rue" :
Le coût de cet amusement public pour les banlieues n'a pas encore été évalué, mais la note promet d'être salée. Le Parisien compte 15 millions de litres d'eau gaspillés à l'heure (pendant combien d'heures ?) pour la seule journée de vendredi :
"« Il y a l’eau perdue mais il faut aussi prendre en compte le coût des bornes réparées qui n’ont heureusement pas toutes été cassées, cette facture-là revient aux collectivités. Il faut également compter les caves infiltrées, les appartements inondés, les postes de distribution d’électricité endommagées », énumère encore Veolia.
Le groupe a dû envoyer des techniciens sur place pour réparer et fermer l’eau mais également mobiliser du personnel dans ses usines pour activer le traitement d’eau et pouvoir réalimenter les canalisations. Impossible pour le moment de dire si cette crise aura des répercussions sur le prix de l’eau pour les villes et le contribuable."