De Jean Cochet (article de Présent en accès libre) :
"Avec l’alerte sur une prétendue vague bleue, nous n’étions pas seulement dans l’extrapolation mais certainement aussi dans l’intoxication. Ce tsunami imaginaire a permis de mobiliser au maximum l’électorat de gauche et, à l’inverse, de démobiliser la partie la plus fluctuante des électeurs de droite, invités en quelque sorte à ne pas se déplacer. Les directeurs des instituts de sondages étant presque tous des sympathisants du PS, on peut imaginer leur jubilation rentrée de dimanche soir. Rééquilibrage réussi ! Et pour eux mission accomplie…"