Elle est tirée des 40 Days for Life :
"Il y a peu, une jeune femme s’est dirigée vers la vigile des 40 Days for Life qui se tenait devant un avortoir à Austin (Texas). Elle finit par se joindre à ceux qui priaient puis, immédiatement, elle s’assit sur le trottoir et se mit à pleurer. Une des volontaires s’arrêta de prier pour aller vers cette jeune femme qu’elle n’avait jamais vue auparavant, et lui demanda si elle avait besoin de réconfort. Cette volontaire pensait que c’était l’idée de ce qui se passait à l’intérieur de l’avortoir qui avait bouleversé cette femme et avait provoqué ses larmes. Mais ce n’était pas le cas. À sa grande surprise, elle découvrit que cette jeune femme pleurait pour une autre raison. “Je suis enceinte et je ne le supporte pas” déclara-t-elle. “J’ai déjà subi quatre avortements”. Elle dit qu’elle n’avait pas encore pris de rendez-vous pour l’avortement. “Mais je ressens toujours cette grande tentation d’aller dans une clinique d’avortement, de payer mes 400 $ et d’en finir. Je suis venu sur ce trottoir pour prier et pour être entourée de gens qui soient du même avis que moi”.
La jeune femme a raconté à l’une des conseillères de trottoir qu’elle était à son 2ème mois de grossesse. Elle s’était déjà rendue à un centre d’aide pour femmes enceintes, mais était toujours en pleine confusion émotionnelle. Elle était devenue chrétienne, avoua-t-elle : “Mais avec cette nouvelle grossesse je me sens tellement déprimée. Je vis dans un foyer d’accueil pour femmes et la seule chose dont je n’ai pas besoin en ce moment, c’est d’être enceinte.” La conseillère l’emmena dîner et elles discutèrent pendant des heures.
“Alors qu’elles échafaudaient un plan à long terme afin de trouver pour cette jeune femme l’aide dont elle avait besoin, nous raconte Elizabeth McClung, la coordinatrice des 40 Days for Life à Austin, elle a dit quelque chose qui devrait servir d’encouragement à tout pro-vie dont l’idée d’aller prier devant un avortoir n’est jamais venue à l’idée”. “Si des types comme vous n’étaient pas là à prier, dit cette femme, j’aurais choisi la solution de facilité et après avoir ruminé dans ma voiture pendant des heures j’aurais fini par entrer pour subir un cinquième avortement. Mais puisque vous étiez là en train de prier sur le trottoir, j’ai su que je pourrais trouver du réconfort et du soutien ici, je suis venue pour en fait y pleurer. Merci d’être là.” “Son histoire est un parfait exemple de pourquoi il ne faut pas seulement prier chez soi ou à l’église, mais que l’on doit aussi prier aux endroits mêmes où la vie est blessée et arrachée” nous dit Elizabeth.
La jeune femme est désormais sur le chemin de la guérison de ses précédents avortements, elle cherche un boulot et gère sa grossesse au jour le jour. Et, précise Elizabeth : “Elle n’aura pas de nouvel avortement” ».
le nivet
Amen gloire à Dieu !
pmc
c.q.f.d.