… avec 48 centimes d’euro de subvention pour chaque exemplaire.
L’Humanité est le journal le plus subventionné par numéro vendu
Articles liés
7 commentaires
Publier une réponse
Vous devez avoir un compte pour publier un commentaire
… avec 48 centimes d’euro de subvention pour chaque exemplaire.
Vous devez avoir un compte pour publier un commentaire
Lorsque vous visitez un site Web, il peut stocker ou récupérer des informations sur votre navigateur, principalement sous la forme de cookies. Contrôlez vos services de cookies personnels ici.
Christian83
A quand le tour de la société Dupont, puis Durand etc…… Et ils veulent redresser le déficit, oui par ceux qui ne demandent rien comme vous et moi !
Cela ne pourra pas durer
Dragases
L’exploitation de l’homme par l’homme…
Bertin
Marion Maréchal-Le Pen raille l’abandon des dettes pour L’Humanité par l’État
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/12/17/97001-20131217FILWWW00539-marion-marechal-le-pen-raille-l-abandon-des-dettes-pour-l-humanite.php
lavandin
…vous ne l’achetez pas , mais vous le payez quand meme
Magikbus
Ca permet au milliardaire Rothschild de faire des économies et moins de dépense sur chaque numéro imprimé, vendu ou non ….
Curieusement les journaux chrétiens patriotes comme l’hebdo Rivarol ne recoit jamais la plus infime subvention depuis un demi-siècle malgré sa réclamation et alors que ces dévoués journalistes enqueteurs en auraient bien besoin !
Bref , les torchons qui incitent à la haine antinationale/anti-chrétiens, pro-immigration/mondialiste sans frontières , recoivent le max des subventions et d’autant plus quand ils sont sous la coupe du lobby qui n’existe pas ,milliardaires inclus .
Curieux que les subventions profitent toujours à ceux qui sont contre le peuple et contre la nation ,en se gargarisant de coquilles vides sur la république (pensée unique obligatoire)et la laicité (pro-mosquées ! )
n
Bientôt la subvention au numéro devrait dépasser le prix de vente…
gégé
Payer ce torchon immonde et nauséabond avec nos impôts est une honte inqualifiable. Si ce vecteur de l’idiologie intrinsèquement perverse n’a plus de lecteurs ce n’est qu’un signe de bonne santé de la société.